Actuellement sont diagnostiqués entre 6400 et 6800 nouveaux cas de sida en France. La moitié concerne les homosexuels masculins. Selon Le Figaro, le sida chez les homosexuels masculin est « incontrôlé » depuis trois ans. Cela veut dire qu’un certain nombre de cas n’est pas diagnostiqué et que leurs porteurs sont susceptibles d’infecter d’autres personnes sans le savoir. Le site test hiv-aides écrit que 30.000 personnes sont ignorantes de leur séropositivité.
Or il suffit de taper sur Internet ces mots « incubation sida » pour savoir que l’incubation du sida est de trois à six semaines. Pendant toute cette période il est impossible de diagnostiquer la maladie par les tests biologiques. Il est même possible de trouver des phrases comme celles-ci. « La négativité de ces 2 tests 3 à 4 mois après un contact suspect affirme l’absence d’infection par le sida. »
Cela veut dire que des homosexuels peuvent en toute bonne foi venir donner leur sang alors que la maladie est en incubation et que le sérodiagnostic est négatif. Celui-ci sera injecté à d’autres Français.
Statistiquement tôt ou tard des transfusions sanguines seront effectuées alors que le sang sera infecté. Selon Le Figaro du 17 juillet. « La loi européenne prévoit que : ’les personnes dont le comportement sexuel les expose au risque de contracter des maladies infectieuses graves transmissibles par le sang sont exclues de manière permanente du don de sang ». Mais elle estime tout autant que les écarter du don est « discriminatoire ». Cette contradiction évidente devrait être tranchée plus tard…
Or un rapport qui vient de paraître est tout aussi contradictoire : celui-ci considère que le risque est « résiduel ». Pourtant le Pr Dominique Costagliola, de l’Agence nationale de recherche sur le sida à Paris déclare sur le sujet. « Pour moi, cette exclusion n’a absolument pas d’objectif discriminatoire, mais uniquement un objectif de santé publique. Les dernières données épidémiologiques nous permettent de savoir que 3 % des homosexuels masculins sont contaminés par le virus du sida sans le savoir, ce qui est énorme ! ». C’est clair !
Les trois derniers ministres de la santé, Roselyne Bachelot (dont les sympathies homosexuelles sont connues), Xavier Bertrand et même Marisol Touraine n’ont pas voulu prendre cette responsabilité.
Comment réussir à contrôler cette zone de séronégativité chez les éventuels donneurs homosexuels ? La réponse est à pleurer. On va demander à chaque homosexuel s’il a eu des rapports sexuels récemment. Qui au monde pourra vérifier s’il dit vrai ?
Un nouveau scandale du sang contaminé se prépare…
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