Le lobby international pour l’avortement, représenté au sein de l’Organisation des Nations-Unies, veut établir une « Journée mondiale de l’avortement » le 28 septembre.
Comment peut-on se réjouir, face à ce génocide déguisé en « droit de l’Homme qu’il conviendrait de défendre » ?
Il y a quelques semaines, une coalition de 430 groupes pro-avortement a adressé une lettre au Secrétaire général des Nations-Unies, Monsieur Ban Ki-moon, ainsi qu’aux responsables d’ONU-Femmes, du Programme de développement des Nations Unies, de l’Organisation mondiale de la Santé, du Fonds des Nations Unies, de l’ONUSIDA et de l’UNESCO, en demandant la création d’une « fête spéciale avortement», au niveau mondial.
Ce procédé est infâme. De nombreux pays ne reconnaissent pas le meurtre des enfants dans le sein de leur mère, comme un droit fondamental. Et heureusement. Mais comme il s’agit des pays les plus pauvres, les pays riches risquent de passer en force…
Selon cette lettre, le 28 Septembre sera déclarée « journée internationale d’action pour la dépénalisation de l’avortement ».
Une fois de plus, le lobby de l’avortement utilise des euphémismes pour pousser son ordre du jour. La journée ne serait pas ouvertement « pro-mort » mais « contre la pénalisation de l’infanticide ». Mais nous savons, nous, ce qu’est l’avortement. Dans 100 % des cas, un bébé innocent meurt ; et dans presque autant de cas, la mère est profondément choquée sinon désespérée.
La lettre du lobby de l’avortement tente de se défendre : « Nous ne sommes pas des criminels. Aucun d’entre nous devrait être poursuivi pour quelque chose qui est un évènement normal de la vie d’une femme (…) L’avortement sans risque est un service de santé essentiel pour les femmes « . Mais « sans risque » pour qui ? Pas pour l’enfant, en tous cas.
Leur objectif est clair : faire pression pour la légalisation de l’avortement dans les pays où il est illégal, et établir un «jour de fête» qui sera utilisé pour déployer une propagande pro-avortement. Le lobby de l’avortement est uni pour tuer des enfants par dizaines de millions.
Il faut aussi rappeler qu’il n’y a pas d’avortement sans risque pour la femme. Cela n’existe pas.
Et pour ce qui est de célébrer le meurtre d’êtres humains innocents, il en va franchement à l’encontre d’un droit fondamental : le droit à la vie.
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