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action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /home/mediaspresse/www/wp-includes/functions.php on line 6114« Alors que Benjamin Netanyahu, écrit The Times of Israel, a déclaré jeudi que la pandémie était presque finie, le responsable coronavirus en Israël a dit « ne pas savoir ce qu’a voulu dire » le Premier ministre. »
« Israël, continue l’article, pourrait connaître un quatrième confinement avant les prochaines élections générales prévues le 23 mars, a déclaré un haut-responsable de la Santé dans la journée de vendredi. Il s’est exprimé alors que le taux de transmission du virus a franchi dans le pays la barre de 1, ce qui indique que la propagation de la pandémie accélère encore, selon des données du ministère de la Santé. « Nous sommes inquiets concernant la hausse des infections dans les prochains jours », a dit le responsable de la lutte contre le coronavirus, Nachman Ash, à la radio 103FM Radio, ajoutant que « si nous n’agissons pas de manière responsable et si les citoyens ne suivent pas les directives, la possibilité d’un quatrième confinement avant les élections existe ». Interrogé sur une déclaration faite sur Fox News jeudi par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a estimé que la pandémie était terminée au sein de l’État juif, Ash a déclaré : « Je ne sais pas ce qu’a voulu dire le Premier ministre. » »
Les chiffres des contaminations selon The Times of Israel sont en hausse :
« Les chiffres du ministère ont indiqué que le nombre de reproduction de base du virus, ou R, était de 1,01 dans la matinée de vendredi. Le nombre de reproduction de base est le nombre de nouveaux cas émanant d’un seul porteur du coronavirus, soit le nombre de personnes contaminées par malade. Tout chiffre inférieur à 1 signifie que la pandémie ralentit et un nombre supérieur à 1 implique qu’elle connaît une recrudescence. Les chiffres se basent sur chaque nombre de nouveaux cas survenus dans les dix jours précédents, en raison de la période d’incubation du virus. »
Alors qu’Israël a mis en place une stratégie vaccinale de grande ampleur faisant de l’Etat hébreu un laboratoire grandeur nature du vaccin de Pfizer, et a imposé le passeport vaccinal, appelé passeport vert, pour aller aux restaurants, au théâtre, aux événements sportifs, le doute demeure donc quant à l’efficacité de ce vaccin anti-covid. Si d’un côté Netanyahu a affirmé, jeudi, que l’État juif en avait largement terminé avec le coronavirus, disant que le pays était le premier dans le monde à avoir réussi à s’extraire de la pandémie grâce à sa campagne de vaccination rapide et efficace, il a également précisé dans une autre déclaration la semaine dernière qu’Israël se prépare : « au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois. » Quant au masque, il est toujours obligatoire, même pour les vaccinés.
Par ailleurs, une étude réalisée par le Dr Hervé Seligmann, membre de la faculté de médecine des maladies infectieuses et tropicales émergentes de l’université d’Aix-Marseille et l’ingénieur Haïm Yativ, se basant sur les données publiées par le ministère israélien de la santé, révèlerait que « que le vaccin expérimental à ARNm aurait provoqué le décès de plus de personnes que la maladie elle-même n’en aurait fait naturellement” tant chez des personnes âgées que dans des populations plus jeunes ».
Tous ces faits ne peuvent que susciter la méfiance envers le vaccin Pfizer à ARNm et son efficacité peut-être plus supposée que réelle, voire amplifiée pour soutenir une obligation vaccinale imposée à tous les citoyens pour retrouver une vie normale. Obligation qui mine les libertés fondamentales et s’apparente à une ingénierie sociale destinée à mieux surveiller les populations.
Francesca de Villasmundo
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Une étude sur le port du masque réalisée auprès de 25000 enfants allemands a révélé en outre les symptômes suivants : 53% de maux de têtes, 50% de difficultés de concentration, 38% de difficultés d’apprentissage, 36% de fatigue et somnolence.
La chancelière allemande a accepté un déverrouillage progressif du dispositif anti-Covid dans tout le pays. L’Allemagne va progressivement se déconfiner. « Après plus de neuf heures d’âpres négociations, Angela Merkel et les dirigeants des 16 Etats-régions du pays sont parvenus à un accord sur un calendrier d’assouplissements des mesures de confinement partiel en place depuis la fin de l’année dernière » écrit 20 minutes.
La chancelière a cédé face aux régions allemandes à propos d’un seuil d’incidence de 35 pour 100.000 en deçà duquel des assouplissements futurs seraient concédés. Le seuil de 50, moins contraignant, a finalement été retenu pour ouvrir la voie, à partir de fin mars, à des réouvertures dans la restauration en plein air, les secteurs culturels et sportifs. Au-dessus de 100, de sévères restrictions seront en revanche réintroduites.
« Aujourd’hui, nous pouvons parler d’espoir et d’espérance », a affirmé lors d’une conférence de presse la chancelière allemande, estimant que son pays entrait désormais « dans une nouvelle phase » de la lutte contre l’épidémie rendue possible notamment par l’accélération des vaccinations.
Cette décision intervient à sept mois des élections législatives alors que le dispositif anti-Covid n’est plus soutenu aujourd’hui que par un tiers des Allemands, contre deux tiers début janvier, selon un sondage YouGov publié cette semaine. La chancelière allemande trouvait même des opposants au sein de son propre gouvernement.
Francesca de Villasmundo
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La république maçonnique macronienne s’attaque de plus en plus ouvertement à la liberté d’enseignement. Sous prétexte de lutter contre les écoles clandestines islamiques (les « madrassa ») qui pullulent dans les territoires conquis – dénommés pudiquement « zones de non-droit – elle veut, en fait, arracher aux parents leurs enfants afin qu’ils puissent être formatés selon les « valeurs républicaines ».
Civitas, comme la Fondation pour l’école, Créer son école d’Anne Coffinier et plusieurs autres associations de défense des écoles hors contrat, sont actuellement devant le Conseil d’Etat pour lutter contre les manoeuvres sournoises des gouvernants qui continuent leur travail de démolition d’une France catholique qu’ils ont en haine depuis 1789.
Le District de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X, par l’intermédiaire de son Directeur de l’enseignement, M. l’abbé Philippe BOURRAT, est aussi à la pointe de ce combat contre « une forme de socialisme qui n’est pas propre à la France et qui se caractérise par un recul des libertés individuelles et sociales et un contrôle accru de la population. »
Nous pouvons le voir à la lecture de cet article intitulé « La fin programmée de la liberté d’enseignement » :
Le mardi 16 février 2021 a été voté en première lecture à l’Assemblée nationale le projet de loi « confortant le respect des principes de la République », initialement intitulé projet de loi contre le « séparatisme ». Le Sénat examinera le texte à partir du 30 mars. Comportant plusieurs volets touchant à des domaines assez variés, la loi traite notamment de l’instruction à la maison et des écoles hors contrat.
L’instruction à la maison
L’article 21 de la loi concerne l’instruction à la maison. La loi du 26 juillet 2019 avait déjà abaissé à 3 ans l’âge du début de l’instruction obligatoire, jusqu’à 16 ans. Il s’agit désormais de restreindre au maximum le recours à l’instruction à la maison. Son application prendra effet à la rentrée de septembre 2022.
Le principe général est simple : on passe d’un régime de déclaration à un régime d’autorisation. C’est la fin de la liberté de l’enseignement telle qu’elle avait été prévue notamment en 1830 dans la Constitution de la Monarchie de Juillet (et appliquée par la loi Guizot de juin 1833 pour les écoles primaires), ou encore dans celle de 1848 de la IIeRépublique, ce qui avait constitué un argument électoral de la part du candidat à l’élection présidentielle Louis-Napoléon Bonaparte, en décembre 1848, pour s’attirer le vote des catholiques et conservateurs. Une fois élu, il avait concrétisé cette promesse en promulguant la loi Falloux, en mars 1850, qui accorda de plus grandes libertés à l’enseignement primaire et secondaire libres, en attendant une loi sur la liberté de l’enseignement supérieur qui attendra 1875. Même dans les débuts de la IIIe République radicale (à partir des élections de 1877), le droit des parents était encore reconnu ainsi que la liberté de choisir le mode d’éducation qui conviendrait le mieux à leurs enfants. Les lois de Jules Ferry (gratuité du primaire 1881, obligation scolaire et laïcité 1882) préservaient le « droit des pères » à choisir le type d’instruction de leurs enfants.
Il faut attendre le ministère d’Emile Combes pour assister à la persécution la plus violente opérée depuis la Révolution française contre les congrégations religieuses enseignantes. Entre 1902 et 1904, les demandes d’autorisation d’existence des écoles sont d’abord refusées. Le gouvernement décide ensuite d’interdire purement et simplement l’existence des écoles religieuses (juillet 1904). Après une période de tolérance entre la fin de la Première guerre mondiale et le début de la Deuxième, on entre dans une ère de réhabilitation de l’école privée, durant la guerre puis avec la IVe République. La Ve République, fondée par le Général de Gaulle, rendit constitutionnelle cette liberté d’enseignement qui se manifestait, comme sous les autres régimes, tant dans la liberté d’ouverture des écoles que dans celles des parents de choisir les modalités de l’instruction à donner obligatoirement à leurs enfants. La loi Debré de décembre 1959 permettait ainsi que coexistent l’école publique, l’école privée en contrat avec l’Etat conçue pour séduire les écoles religieuses en les alignant sur les programmes et le mode de fonctionnement des écoles publiques, l’école hors contrat, laissée libre dans sa pédagogie, et l’instruction en famille, ces deux dernières formes d’instruction étant encadrées par la loi et contrôlées par des inspections régulières. Avec la loi 2021, c’est la fin d’une liberté vieille de près de deux siècles, même si de rares cas d’instruction à la maison seront autorisés pour une durée d’un an.
Avec la loi 2021, c’est la fin d’une liberté vieille de près de deux siècles, même si de rares cas d’instruction à la maison seront autorisés pour une durée d’un an.
Ces autorisations seront en effet limitées à des motifs très restreints.
- L’état de santé de l’enfant ou son handicap ;
- La pratique d’activités sportives ou artistiques intensives ;
- L’itinérance de la famille en France ou l’éloignement géographique de tout établissement scolaire ;
- L’existence d’une situation propre à l’enfant motivant le projet éducatif, sous réserve que les personnes qui en sont responsables justifient de leur capacité à assurer l’instruction en famille dans le respect de l’intérêt supérieur de l’enfant. Dans ce cas, la demande d’autorisation comporte une présentation écrite du projet éducatif ainsi que les pièces justifiant de « la capacité à assurer l’instruction en famille ».
« L’autorisation mentionnée au même premier alinéa est accordée pour une durée qui ne peut excéder l’année scolaire. Elle peut être accordée pour une durée supérieure lorsqu’elle est justifiée par l’un des motifs prévus au 1°. Un décret en Conseil d’État précise les modalités de délivrance de cette autorisation.
« L’autorité de l’État compétente en matière d’éducation peut convoquer les responsables de l’enfant à un entretien afin d’apprécier la situation de l’enfant et de sa famille et de vérifier leur capacité à assurer l’instruction en famille. « En application de l’article L. 231-1 du code des relations entre le public et l’administration, le silence gardé pendant deux mois par l’autorité de l’État compétente en matière d’éducation sur une demande formulée en application du premier alinéa du présent article vaut décision d’acceptation.
Par ailleurs, la vérification de l’application de l’obligation scolaire fera l’objet d’un nouvel article dans le Code de l’Education :
« Art. L. 131-6-1. – Afin notamment de renforcer le suivi de l’obligation d’instruction par le maire et l’autorité de l’État compétente en matière d’éducation et de s’assurer ainsi qu’aucun enfant n’est privé de son droit à l’instruction, chaque enfant soumis à l’obligation d’instruction prévue à l’article L. 131-1 se voit attribuer un identifiant national. »
Le cas des écoles hors-contrat
L’article 22 de la loi de 2021 concerne, quant à lui, les écoles hors contrat.
Il prévoit un renforcement des contrôles et une aggravation des peines encourues pour les écoles ouvertes illégalement ou n’assurant pas leur mission d’instruction conforme au socle commun.
IV 2 « 2° Aux insuffisances de l’enseignement, lorsque celui-ci n’est pas conforme à l’objet de l’instruction obligatoire, tel que celui-ci est défini par l’article L. 131-1-1, et ne permet pas aux élèves concernés l’acquisition progressive du socle commun défini à l’article L. 122-1-1 »
Vers un contrôle accru de la population
La République en Marche (LREM), le parti du président Macron élu par une majorité de Français en 2017, fait avancer à grands pas une forme de socialisme qui n’est pas propre à la France et qui se caractérise par un recul des libertés individuelles et sociales et un contrôle accru de la population. Après le prétexte de l’épidémie de COVID, c’est le danger de l’islam radical qui sert d’écran à une réduction toujours plus forte des espaces bien relatifs de liberté : le culte (1), la famille ou encore le droit d’expression lié à internet. Nul doute que les semaines à venir seront cruciales en France sur ces questions qui façonnent le visage d’une société et de la conception de la liberté que l’on s’en fait.
Abbé Philippe BOURRAT, in LPL du 5 mars 2021
(1) L’article 31 concernant les lieux de culte est ajouté dans le Code pénal. « Art. 167-7 (nouveau). – I. – Le représentant de l’État dans le département peut prononcer la fermeture temporaire des lieux de culte dans lesquels les propos qui sont tenus, les idées ou théories qui sont diffusées ou les activités qui se déroulent provoquent à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes ou tendent à justifier ou encourager cette haine ou cette violence. « Cette fermeture, dont la durée doit être proportionnée aux circonstances qui l’ont motivée et ne peut excéder deux mois, est prononcée par arrêté motivé et précédée d’une procédure contradictoire dans les conditions prévues au chapitre II du titre II du livre Ier du code des relations entre le public et l’administration. « II. – Peuvent également faire l’objet d’une mesure de fermeture selon les modalités prévues au dernier alinéa du I des locaux dépendant du lieu de culte dont la fermeture est prononcée sur le fondement du même I et dont il existe des raisons sérieuses de penser qu’ils seraient utilisés pour faire échec à l’exécution de cette mesure. La fermeture de ces locaux prend fin à l’expiration de la mesure de fermeture du lieu de culte.
Source : La Porte Latine du 5 mars 2021
Lire aussi :
]]>Le voilà de retour dans un show qui sonne son retour dans l’arène politique. Devant le rassemblement annuel des conservateurs, l’ex-président des Etats-Unis est sorti de sa retraite pour promettre un avenir radieux au « trumpisme ».
« La Maison Blanche ? Qui sait, je pourrais décider de gagner pour la troisième fois » lance-t-il devant les membres du Grand Old Party réunis le 28 février à Orlando, en Floride pour la Conservative Political Action Conference.
Et puis :
« Je ne suis pas en train de créer un nouveau parti : c’était une fake news. »
Le retour sur la scène politique de l’ancien président au Hyatt Regency d’Orlando où il monte sur scène pour clôturer les travaux de la Conférence des conservateurs américains (CPAC), est un véritable spectacle dans le parfait style Trump. Et son message est sans équivoque : je suis toujours le leader.
Il est prêt à reprendre le Grand Old Party et à lancer le New America First Agenda, en dictant les thèmes sur lesquels construire la plateforme qui permettra aux Républicains de regagner du terrain au Congrès en prévision des élections de mi-mandat de 2022, puis de viser la reconquête de la Maison Blanche en 2024. « Plus le défi est grand, plus la tâche est difficile, plus nous devons être déterminés à réussir et à gagner », a déclaré Trump. Les priorités indiquées dans son discours sont celles qui ont toujours été au cœur de sa ligne politique : l’immigration, la sécurité publique et le commerce.
Il demande au Grand Old Party d’être « uni »:
« Nous ne fondons pas de nouveaux partis, nous ne diviserons pas notre pouvoir et notre force. Au lieu de cela, nous serons unis et forts comme jamais auparavant. »
« La seule division est entre une poignée de politiciens de l’establishment de Washington et tous les autres dans le reste du pays », poursuit-il. Cependant, il pointe du doigt les « traîtres », c’est-à-dire les Républicains qui, à la Chambre et au Sénat, ont voté sa condamnation dans le cadre du processus de destitution après l’assaut du Capitole le 6 janvier dernier. Parmi eux, Liz Cheney, fille de 54 ans de l’ancien vice-président de George W. Bush, Dick Cheney, représentante de l’aile modérée et de l’establishment traditionnel. « Je ne pense pas qu’elle devrait jouer un rôle dans l’avenir du parti, ou du pays », s’est exclamé Trump.
Au cours de son premier discours de retour, l’ancien président des Etats-Unis n’a pas manqué d’attaquer son successeur, qui pour le magnat a eu « le premier mois le plus désastreux de tous les présidents de l’histoire moderne ».
Le discours de Donald intervient à la fin des travaux du CPAC, juste avant le traditionnel « scrutin présidentiel », au cours duquel les participants sont invités à indiquer qui est le candidat présidentiel préféré.
Dès la veille, les sondages indiquaient une nette avance en faveur de Trump, un moyen de faire comprendre aux autres aspirants candidats du GOP qu’au moins pour l’instant, l’espace pour les ambitions, avec The Donald sur le terrain, est limité. Le message s’adresse principalement à certains des absents les plus en vue, tels que l’ancien vice-président Mike Pence, le sénateur Mitt Romney ou l’ancien ambassadeur de l’ONU Nikki Haley. Au lieu de cela, les loyalistes de Trump étaient présents, à commencer par l’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo.
Francesca de Villasmundo
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Plus de huit ans après le quadruple assassinat de la tuerie de Chevaline (Haute-Savoie), Le Canard Enchaîné révèle que les enquêteurs ont identifié les coupables, tous issus d’Athanor, une loge franc-maçonne située en région parisienne. Ses membres, d’anciens fonctionnaires de la DGSE, d’ex-journalistes ou policiers, ont été arrêtés alors qu’ils s’apprêtaient à assassiner une coach sportive et hypnotiseuse.
Le commanditaire n’est autre qu’un ancien commandant de la direction du renseignement intérieur, chez qui les enquêteurs ont découvert des munitions de calibre 7.65 identiques à celles utilisées pour abattre, avec un Luger P06, les victimes de Chevaline, de deux balles dans la tête.
Le 5 septembre 2012, trois membres de la famille al-Hilli, des citoyens britanniques d’origine irakienne, et un cycliste savoyard, Sylvain Mollier, avaient été assassinés sur un parking proche du lac d’Annecy.
Le 24 juillet 2020, la police arrête deux agents de la DGSE qui se préparent à exécuter une femme qu’ils prétendent être du Mossad.
Le 21 janvier 2021, les enquêteurs apprennent que les ordres viennent d’un ancien commandant de la Direction du renseignement intérieur. Arrêté, celui-ci avoue qu’il appartient à la loge maçonnique Athanor dont un ancien « vénérable », lui-même coach en entreprise, a commandité l’assassinat d’une concurrente coach en confiant la mission à Frédéric V., un franc-maçon de la même loge Athanor, ex-journaliste du Dauphiné libéré reconverti dans l’intelligence économique.
Le Canard enchaîné écrit que lorsque les enquêteurs se sont intéressés de plus près à la loge maçonnique Athanor, ils ont découvert « une véritable PME du crime ». Le franc-maçon Frédéric V. en question a avoué être impliqué dans diverses barbouzeries liées aux élections municipales. Il a aussi réalisé quelques actions d’intimidation à la demande d’entrepreneurs. Avec notamment à la clé un mort à Levallois.
Au cours de ses aveux, le franc-maçon Frédéric V. explique également que lui et ses petits camarades de la loge Athanor rémunèrent des policiers francs-maçons pour leur fournir des renseignements en consultant les fichiers de police.
Et, comme par hasard, l’ex-RG passé aux aveux aurait fait une très curieuse tentative de suicide dans sa cellule de la prison de Meaux-Chauconin (Seine-et-Marne) alors qu’il devait y être placé sous étroite surveillance. De quoi agacer enquêteurs et juges d’instruction privés d’un témoin capital hospitalisé dans un état grave.
La secte maçonnique est décidément toujours apte à fournir à l’actualité des dossiers sulfureux.
]]>Trump a crié à la fraude, à la conspiration menée par toute la bien-pensance universelle contre lui afin qu’il perde les élections. Le monde s’est moqué de lui, l’a traité de complotiste, a diabolisé ses soutiens. Tout le monde se souviendra des graves allégations de fraude formulées par l’équipe juridique de Trump au lendemain de la victoire de l’opposant démocrate, qualifiées de théories de « conspiration » et sans fondement. « Ils nous ont volé les élections », avait déclaré Trump devant ses partisans le 6 janvier. Et pourtant…
Tout à leur victoire, les opposant à Donald Trump se lâchent et ne cachent plus les sombres manœuvres entreprises pour empêcher que l’ancien président des Etats-Unis ne fasse un second mandat à la Maison Blanche.
Ce qui ressemble bien à une vaste conspiration commence à émerger dans la presse mainstream, racontée en détails par des protagonistes fiers d’eux-mêmes. Le Time dans un article du 4 février dernier intitulé L’histoire secrète de la campagne fantôme qui a sauvé les élections de 2020, de la journaliste Molly Ball (biographe de la présidente de la Chambre Nancy Pelosi) décrit ce qui s’est passé, recueillant les témoignages de toutes les figures clés du plan.
Il n’y a peut-être pas eu de fraude, qui n’a de toute façon pas été légalement prouvée, mais Donald n’a pas eu tort de parler de « conspiration » contre lui. Dans son étude le Time relate une histoire interne sans précédent et dramatique d’un « effort extraordinaire visant à ‘garantir que le vote soit libre et équitable’ ».
« Pendant plus d’un an, une coalition d’activistes a soutenu les institutions américaines alors qu’elles étaient simultanément attaquées par une pandémie impitoyable et un président à tendance autocratique », écrit Time. En pratique, l’existence d’un « complot » contre Trump est admise, mais orchestrée afin de protéger les institutions américaines :
« Bien qu’une grande partie de cette activité ait été menée par la gauche, admet le journal, elle a été séparée de la campagne de Biden et a franchi les lignes idéologiques, avec des contributions cruciales d’acteurs non partisans et conservateurs. »
Cependant, ces « militants » ne cherchaient pas à saper l’éventuelle victoire du Donald, précise Molly Ball, mais à protéger le bon déroulement des élections, selon l’hebdomadaire américain. « Toute tentative d’interférer avec le résultat correct des élections a été rejetée », déclare Ian Bassin, co-fondateur de Protect Democracy, l’une des nombreuses entreprises impliquées. :
« Mais il est extrêmement important pour le pays de comprendre que cela n’est pas arrivé par accident. Le système n’a pas fonctionné comme par magie. »
L’article souligne qu’il y a eu un effort coordonné, d’une durée de plus d’un an, pour arrêter Trump, depuis l’automne 2019. Il en ressort qu’il s’agit d’une collusion de syndicats, d’hommes d’affaires, de médias, de grandes technologies et de mouvements de protestation des droits civiques avec l’un des deux partis en lice, le Parti démocrate. Des intérêts politiques et économiques puissants et très différents qui ont agi à l’unisson contre un candidat, Trump.
Comme Molly Ball l’écrit avec insistance, « leur travail a touché tous les aspects de l’élection. Ils ont convaincu les États de changer leurs systèmes électoraux et leurs lois, ont aidé à lever des centaines de millions de fonds privés et publics. Ils ont remporté des procès visant à supprimer des votes, recruté des armées de sondeurs pour les bureaux de vote et incité des dizaines de millions de personnes à voter par correspondance pour la première fois ». Le Parti démocrate, pendant la campagne électorale, a en fait exhorté les électeurs à voter par correspondance, tandis que Donald Trump a constamment remis en question sa fiabilité. Résultat : 3/4 des votes par courrier sont allés à Joe Biden et ils se sont avérés fondamentaux dans sa victoire. Dans ce plan, l’épidémie de Covid a fourni le prétexte pour changer le mode de scrutin, même sans introduire de vraies lois. Le vote par correspondance, que l’article Time présente comme une « révolution » a affecté la moitié de l’électorat. Et s’il y a un type de vote qui ne peut pas être contrôlé, c’est bien le vote postal. En outre, ces militants démocrates « ont réussi à pousser les entreprises de médias sociaux à adopter une ligne plus ferme contre la désinformation ».
Au centre de l’intrigue, selon Ball, est le stratège de l’AFL-CIO (la plus grande fédération syndicale américaine) Mike Podhorzer, conseiller du président du syndicat. Il est également président du conseil d’administration de l’Analyst Institute et de Catalist, ainsi que du conseil d’administration d’America Votes, du Comité des États et de la Majorité Progressiste. Toutes des institutions qui, dans le passé, ont reçu d’importants dons du magnat libéral George Soros, du monde d’Hollywood et de la Big Tech. À partir de septembre 2019, il aurait commencé à créer un réseau d’acteurs politiques influents pour contrecarrer « deux résultats électoraux potentiels », à savoir la possibilité que Trump perde les élections et ne l’admette pas, ou la possibilité qu’il les remporte « avec les votes du Collège électoral (malgré la défaite au vote populaire), corrompant le processus de vote dans les États clés ».
Le réseau mis en place par Podhorzer comprenait de puissants gauchistes :
«Le mouvement ouvrier, la gauche institutionnelle comme Planned Parenthood et Greenpeace, des groupes de résistance comme Indivisible et MoveOn, des experts en informatique et des stratèges progressistes, des organisateurs de base au niveau de l’État, des militants pour la justice raciale et autre. »
Les grands réseaux sociaux Twitter et Facebook se sont impliqués dans le plan depuis sa création en novembre 2019, lorsque Mark Zuckerberg (Facebook) et Jack Dorsey (Twitter) ont rencontré des militants progressistes pour concevoir une stratégie contre les « fausses nouvelles ». Laura Quinn, qualifiée dans l’article de « co-fondatrice activiste progressiste de Catalist, a commencé à étudier le problème il y a des années. Elle a dirigé un projet secret qui n’avait jamais été discuté en public auparavant, qui traçait la désinformation en ligne. » On a vu comment ce mécanisme fonctionne, dans la pratique : comptes de Trump suspendus, actualité supprimée, doutes sur la fraude électorale censurés par les réseaux sociaux. Ou les notifications persistantes de zélés « vérificateurs de faits indépendants » qui contestent tout ce que les utilisateurs disent en faveur de Trump.
Le mouvement Black Lives Matter a été particulièrement crucial, sur de nombreux points de vue. D’abord parce qu’il a permis la mobilisation de nombreux militants, devenus opérateurs et scrutateurs dans les bureaux de vote, et des services d’ordre intimidants, « une force de défenseurs électoraux qui, contrairement aux scrutateurs normaux, ont été formés aux techniques de désescalade ». Les représentants de la liste républicaine qui ont été violemment éloignés des bureaux de vote en savent peut-être quelque chose.
On lit aussi dans l’article du Time que « 150 groupes libéraux, de la Marche des femmes (Women’s March) au Sierra Club, de Colour of Change à Democrats.com en passant par les Socialistes démocrates d’Amérique, ont rejoint la coalition Protect Results. Le site Web du groupe, aujourd’hui disparu, contenait une carte de 400 manifestations post-électorales, qui devait être activée par message dès le 4 novembre. Pour arrêter le coup d’État qu’elles craignaient, les organisations de gauche étaient prêtes à envahir les rues ».
L’opinion des interviewés sur la couverture médiatique (visiblement biaisée) de l’élection est tout autant étrange :
« Fox News a surpris tout le monde en attribuant la victoire de l’Arizona à Biden (alors que seulement 40% des votes étaient encore comptés, ndlr). La campagne de sensibilisation du public a fonctionné : les présentateurs de télévision ont fait tout leur possible pour conseiller la prudence et encadrer avec précision le décompte des voix. »
Un tel jugement n’a aucun sens, à moins de le lire à la lumière des plans de protestation de masse : même les médias craignaient une déstabilisation, évidemment. S’ils avaient annoncé une victoire de Trump, ils auraient soulevé l’enfer. Mais est-ce le moyen de « sauver la démocratie » ?
Dans ce plan organisé par Podhorzer & Cie pour empêcher Trump de remporter les élections et que révèle Time, le scénario d’une véritable victoire de Donald n’a même pas été envisagé. Lu comme ceci, cela semblerait un plan d’urgence pour éviter un coup d’État de Trump. Mais un parti politique qui prépare des plans d’urgence un an à l’avance est souvent, sinon toujours, le parti qui se tient debout pour préparer le coup d’État. En fait, chaque coup d’État de l’histoire est mené avec les meilleures intentions : déjouer le coup d’État de l’ennemi…
Francesca de Villasmundo
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Le Sunday Times du 24 janvier dernier a commandé un sondage sur les sentiments politiques des quatre nations qui le composent. Et cela, parallèlement au mécontentement de longue date qui secoue l’Ecosse de l’autre côté du mur d’Hadrien, met en évidence un fait relativement nouveau : la majorité en Irlande du Nord soutient désormais un référendum sur l’unité insulaire.
Prévue par les accords de paix du Vendredi Saint signé le 10 avril 1998 qui ont mis fin aux troubles sanglants, la consultation populaire pour décider de l’avenir des 9 comtés du nord-est de l’Irlande, celle qu’on appelle l’Irlande du Nord, est soutenue par 51% des sondés, contre 44% contre. Si cela devait avoir lieu dans les cinq ans, il y aurait même une parfaite égalité entre ceux qui se réjouiraient ou pas d’une unification avec la République d’Irlande (47%). Un changement totalement inédit qui a déjà des conséquences dans le très fragile paysage politique nord-irlandais.
An unprecedented survey of the state of the Union, based on separate polls in Scotland, Northern Ireland, England and Wales, found that Scotland would vote for independence by a margin of 52 per cent to 48 per cent (1) pic.twitter.com/AXxGcMm9Ta
— The Sunday Times (@thesundaytimes) January 23, 2021
Cependant, le rapport de force s’inverse si l’on regarde les préférences des moins de 45 ans qui, même légèrement, préfèrent une Irlande unie (47% contre 46%). L’élément principal du choix des plus jeunes est le Brexit. L’Irlande du Nord a voté en 2016 pour rester en Europe, consciente plus que toute autre nation du Royaume des difficultés économiques et politiques qui auraient résulté des adieux à la manne de Bruxelles. Les opposants à une Irlande unie sont plutôt majoritaires parmi les plus de 45 ans, le segment de la population le plus concerné par les structures sanitaires offertes par le pays dans lequel ils vivent : si le service de santé anglais assure une couverture universelle et relativement efficace, les services offerts par la République d’Irlande sont plus déficients. Néanmoins, la majorité des sondés, 48% contre 44%, estiment que la tendance à l’unification ne peut aller qu’en progressant et que dans 10 ans, Dublin régnera également sur Belfast et ses environs.
Mais si l’Irlande du Nord pourrait représenter un problème futur, l’attention du gouvernement britannique est désormais tournée vers Edimbourg, où depuis des mois il y a eu des majorités claires en faveur de l’indépendance écossaise. Le dernier signe enregistré par le Times était de 49% pour contre 44% qui y sont opposés.
Dans une Ecosse majoritairement très politiquement correcte, lobotomisée par la pensée unique et l’idéologie arc-en-ciel, outre le Brexit que les Ecossais avaient rejeté, un autre facteur est donc important : la gestion de la pandémie. La santé fait partie des compétences des différentes nations du Royaume et la comparaison entre les actions du gouvernement Johnson en Angleterre et celle de Nicola Sturgeon en Ecosse est à l’avantage du leader des « séparatistes » qui a fait du « bon travail » pour 61% des interviewés.
Boris Johnson a une seule carte disponible pour inverser la tendance, la campagne de vaccination avec laquelle il pense sortir le pays du tunnel. Les premières semaines ont été très positives, avec près de 6,5 millions de personnes recevant la première dose et 500 000 recevant également le rappel. La presse applaudit, Johnson a appris à maintenir un profil de communication prudent, les sondages se redressent légèrement. Mais tout cela ne sera peut-être pas suffisant pour contenir l’avalanche indépendantiste lors des élections écossaises de mai que Sturgeon est en train de transformer en mandat pour un deuxième référendum sur l’indépendance.
Et si Londres continue de le nier, la carte ‘Catalogne’ est prête, en faveur de laquelle le Parti National Ecossais, -qui n’a de ‘national’ que le nom puisqu’il est européiste, immigrationniste, mondialiste, arc-en-ciel et anti-Anglais-, a voté samedi : un référendum illégal organisé en se passant de l’aval de Downing Street, compétent sur les questions constitutionnelles. Bien évidemment, l’Union Européenne soutiendra toute volonté d’indépendance, même illégale. Retomberait en effet dans son escarcelle une Ecosse bien domestiquée par la conscience morale universelle et qui n’a plus de farouche que ses paysages…
Francesca de Villasmundo
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La crise politique a été déclenchée par l’ex-Premier ministre Matteo Renzi (2014-2016), qui a retiré son petit parti Italia Viva (IV) de la coalition au pouvoir le 13 janvier, après des semaines de critiques sur la gestion de la crise sanitaire et les plans de dépenses économiques de Giuseppe Conte.
Giuseppe Conte avait espérer obtenir un mandat du président italien Sergio Mattarella pour tenter de former un nouveau gouvernement, le troisième depuis 2018, et mettre en œuvre un plan de plus de 200 milliards d’euros censé relancer le moteur de la troisième économie de la zone euro. Sans succès. Les négociations entre les partis de la coalition au pouvoir en Italie, composée du Parti démocrate (centre-gauche), du Mouvement 5 Etoiles (faux-antisystème) et du petit parti Italia Viva de Matteo Renzi, pour tenter de former ce nouveau gouvernement ont échoué, a annoncé mardi 2 février au soir le président de la Chambre des députés Roberto Fico : « Je n’ai pas constaté une disponibilité unanime pour donner naissance à une majorité » de gouvernement, a-t-il déclaré à l’issue d’un entretien avec le président de la République Sergio Mattarella, qui l’avait chargé d’évaluer la faisabilité d’une reconduction de la coalition actuelle.
Le président italien a convoqué l’ancien président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, pour un entretien mercredi midi, a annoncé son porte-parole mardi soir.
Ce que veut éviter par-dessus tout Mattarella, en homme de gauche accroché au pouvoir et peu respectueux des souhaits populaires, c’est un retour aux urnes du peuple italien, qui penche sérieusement à droite vers La Ligue de Salvini.
Déjà en septembre 2019, il s’était refusé, après la chute du gouvernement Conte I à convoquer des élections anticipées ainsi que le demandait Matteo Salvini, vice-président du Conseil et ministre de l’Intérieur de l’époque et avait confié toujours à l’avocat Giuseppe Conte le mandat de constituer un nouvel exécutif. Ce nouveau gouvernement pendra le nom de Conte bis. Aujourd’hui il prend l’excuse de « l’épidémie » de la covid-19 pour empêcher la tenue de nouvelles élections qui décideraient de la majorité parlementaire, et par voie de conséquence de la couleur, probablement verte comme le parti de Salvini, du gouvernement.
Face à l’impossible Conte 3, c’est à Mario Draghi, Super-Mario ainsi qu’il est surnommé, le sauveur de l’euro en 2012, le banquier de l’Europe bruxelloise, le financier appartenant à la superclasse mondiale, formé dans une université américaine, diplômé d’économie du Massachussetts Institute of Technology (MIT), technocrate au service du Nouvel Ordre Mondial, et lié à la très puissante banque Goldman Sachs, que fait appel le Président de la République italienne. Pour former un nouveau gouvernement technocratique, et surtout… anti-souverainiste !
En attendant la suite de l’entretien entre ces deux politiciens du système, l’Italie est, uen nouvelle fois, sans gouvernement.
Francesca de Villasmundo
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Suzi Feufollet
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Le texte modifiant la Constitution clôt toute possibilité de débat et rend improbable une modification postérieure, alors que le pays interdit déjà l’avortement dans tous les cas de figure.
C’est le jeudi 21 janvier, en la fête de sainte Agnès, vierge et martyre, au Honduras, que le Parlement a voté une réforme de la Constitution qui inscrit dans la loi organique l’interdiction totale de l’avortement et clôt toute possibilité de débat et de modification postérieure. Le vote de jeudi grave aussi dans la Constitution l’interdiction de la dénaturation du mariage.
L’article 67 indique désormais que « La pratique de toute forme d’interruption de la vie à naître, dont il faut respecter la vie à tout moment, est considérée interdite et illégale. Les dispositions légales qui seraient créées après l’entrée en vigueur du présent article et qui établiraient le contraire seront nulles et non avenues. »
La Constitution interdisait déjà l’avortement et le mariage entre personnes de même sexe, mais une réforme était possible avec le vote des deux tiers des 128 parlementaires du Congrès unicaméral. Il faudra désormais les trois quarts des voix pour approuver des modifications.
Ce « bouclier contre l’avortement au Honduras » avait été présenté le 11 janvier par le député du Parti national au pouvoir, Mario Pérez. « La législation établit ce que nous appelons un verrou constitutionnel », s’est félicité M. Pérez. La réforme devra être ratifiée par au moins 86 parlementaires de la prochaine législature qui sera issue des élections, prévues en novembre.
Pérez s’était justifié par sa volonté de stopper « la vague de réformes constitutionnelles dans des pays d’Amérique latine, encouragées par des gouvernements de gauche, destinées à légaliser l’avortement, comme cela a eu lieu en Argentine récemment ». « On ne peut pas le permettre au Honduras ».
Le Honduras fait partie des six pays de la région, avec le Salvador, le Nicaragua, la République dominicaine, Haïti et le Suriname, à interdire totalement l’avortement.
Malheureusement en France, ce sont – chaque année – plus de 250 000 bébés qui sont assassinés dans le ventre de leurs mamans depuis la promulgation de la loi Veil de 1975, qui fut promulguée pour 5 ans à titre expérimental. Une loi de 1979 allait la reconduire sans limite de temps.
À cette occasion, Mgr Lefebvre adressa le télégramme suivant au Président de la République : « Par le vote qui vous est demandé, vous allez engager gravement votre conscience devant Dieu car le 5e commandement du Décalogue interdit le meurtre. C’est pour cette raison que devant la gravité de l’avortement l’Eglise a pris des sanctions sévères (canon 2350). Sont excommuniés tous ceux qui physiquement ou moralement concourent à un avortement ».
]]>Le milliardaire cosmopolite George Soros avait fait le nécessaire pour s’assurer que les candidats pro-avortement puissent obtenir un coup de pouce de certains des groupes mortifères les plus extrêmes lors des élections de 2020 aux Etats-Unis. Pour noyer le poisson quant au financement qu’il apporte à des politiciens, Soros a financé des organisations pro-avortement qui, à leur tour, ont financé des politiciens.
Les archives de la Commission électorale fédérale (FEC) montrent que le super PAC de Soros – Democracy PAC – a donné au moins 2.545.454,55 $ au groupe radical Planned Parenthood Votes (PPV). Le groupe, qui est associé à Planned Parenthood, «apporte des contributions aux candidats qui soutiennent l’avortement», selon Influence Watch. Planned Parenthood Votes a consacré jusqu’à 10 863 121 $ en dépenses totales pour les élections fédérales au cours du cycle 2020. Cela signifie que le financement de Democracy PAC a représenté 23% des dépenses du cycle électoral 2020 de Planned Parenthood Votes pour les élections fédérales.
Mais il y avait un autre groupe politique pro-avortement qui a également reçu une grosse somme d’argent du Soros PAC. Le radical NARAL Freedom Fund a également reçu 1 million de dollars de Democracy PAC en mars.
Le propriétaire de Bloomberg News, Michael Bloomberg, a également donné 4 millions de dollars à PPV au cours du cycle 2020.
Et ce n’est ici qu’une petite partie des financements accordés par Soros à des candidats aux élections américaines.
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Des images filmées en caméra cachée montrent une femme qui exerce une haute responsabilité au sein de Twitter discutant de l’approche «globale» des mesures de censure appliquées sur la plate-forme de réseaux sociaux et promettant une répression «agressive» contre les utilisateurs faisant la promotion de « théories du complot » telles que la fraude électorale aux Etats-Unis.
Le groupe d’enquête Project Veritas a publié la vidéo montrant Vijaya Gadde, responsable des aspects juridiques, politiques, et de confiance et sécurité de Twitter, discutant des politiques de censure lors d’un appel vidéo d’équipe deux jours après les manifestations du Capitole le 6 janvier.
Les images montrent Vijaya Gadde commentant la façon dont l’entreprise envisage de faire appliquer la censure mondiale de centaines de milliers de comptes Twitter : «L’une des choses intéressantes est que beaucoup de travail que nous avons effectué au cours de la semaine dernière a été développé dans d’autres pays partout dans le monde, où nous avons vu la violence se dérouler à la suite d’informations trompeuses ou de discours codés. »
«Beaucoup de nos apprentissages ici [aux États-Unis] proviennent d’autres marchés. Donc, dans ce sens, vous savez, nous avons le sentiment que c’est le cas – c’est notre approche globale », a poursuivi Vijaya Gadde.
Elle a commenté la politique de censure généralisée des comptes Twitter, y compris celle de Donald Trump alors qu’il était encore président des Etats-Unis, s’ils mentionnaient la fraude électorale : «Nous avons décidé d’intensifier notre application de la politique d’intégrité civique et d’utiliser une étiquette qui désactivait les comptes pour arrêter la propagation de contenu incendiaire, tout ce qui est tourne autour de l’ingérence électorale, de la fraude électorale, du vol des élections, ce genre de choses.»
«Nous allons en fait être plus agressifs dans notre application (…) Pour les comptes qui ont pour objectif principal de répandre (…) les théories du complot, nous allons suspendre définitivement ces comptes.»
Ce qui signifie en vérité que tout compte qui mettrait en doute la propagande officielle du Nouvel Ordre Mondial, dans quelque domaine que ce soit, doit s’attendre à être muselé.
Seul Big Brother déterminera ce qui est une vérité et ce qui est une fake news…
]]>La liste comprend des personnalités de la culture pop, notamment le rappeur Lil Wayne et Kodak Black, ainsi que plusieurs républicains et démocrates, dont l’ancien vice-président du Comité national républicain des finances nationales Elliott Broidy, l’ancien membre du Congrès californien Duke Cunningham et l’ancien membre du Congrès Rick Renzi de l’Arizona, ainsi que le riche donateur démocrate Salomon Melgen.
Mais le plus notable est peut-être l’octroi de la grâce à son ancien stratège en chef de la Maison Blanche, Steve Bannon, accusé de fraudes lors de son travail dans la campagne de financement participatif Nous construisons le mur, alimentée par les partisans de Trump pour construire un mur à la frontière sud. Comme le rapporte le communiqué officiel de la Maison Blanche, le président Trump « a accordé son plein pardon à Stephen K. Bannon. Les procureurs ont poursuivi M. Bannon pour des accusations de fraude résultant de son implication dans un projet politique. M. Bannon était un important responsable du mouvement conservateur et est connu pour son sens politique ».
Bannon a été arrêté en août mais libéré sous caution de 5 millions de dollars, plaidant non coupable. Ancien de Goldman Sachs et ancien président exécutif de Breitbart News, il a été embauché en tant que PDG de la campagne de Trump en août 2016, à peine quelques mois avant les élections. Bien qu’il ait rejoint l’administration Trump en tant que stratège en chef, il a quitté la Maison Blanche en août 2017 en désaccord avec de nombreux membres du personnel présidentiel.
La Maison Blanche quittée, Bannon, avec la création de son Mouvement, auquel se sont joints les Frères d’Italie et La Ligue de Salvini, le Rassemblement National de Marine Le Pen, en plus du Mouvement pour le Changement au Monténégro, a voulu lancer une grande alliance de partis eurosceptiques et nationalistes pour contrer idéalement le « globalisme » incarné dans le magnat George Soros et son réseau philanthropique. Il s’est fait le chantre d’un nouveau « nationalisme » pour vaincre le globalisme dominant. « Bannon déteste l’Union européenne, explique Ben Shapiro, ancien collaborateur de Breitbart, pour lui, c’est un outil de mondialisation, à l’opposé de ce qui est nécessaire pour améliorer la civilisation occidentale. »
Selon les informations reportées par Bloomberg, Trump, qui a toujours maintenu le contact avec Bannon, s’est entretenu à plusieurs reprises par téléphone ces dernières semaines avec son ancien stratège, afin de lui demander des conseils sur la situation politique et sur la manière de renverser le résultat des élections. Comme le rappelle le journal américain, Steve Bannon a toujours défendu publiquement Trump tout au long de son mandat de président des Etats-Unis.
« La grâce accordée à l’ancien PDG de Breitbart News représente un fait politique important, souligne un journaliste de Inside Over. En fait, Bannon et Trump pourraient désormais rassembler à nouveau leurs énergies pour s’opposer fermement à la présidence de Biden, peut-être en lançant un nouveau réseau ou un média social alternatif capable de contrer le pouvoir excessif de la Big Tech ou pourquoi pas, en lançant un mouvement politique à l’extérieur du parti républicain et viser ainsi les élections de 2024. Une entreprise presque impossible compte tenu de la fin audacieuse et controversée de la présidence Trump. Mais ne dites jamais ‘jamais’. ‘Je veux que vous sachiez que notre mouvement n’est qu’au début’ a voulu souligner Donald Trump dans son discours d’adieu, laissant entendre qu’il n’a pas l’intention de quitter la politique. »
Francesca de Villasmundo
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“ Après la survenance des émeutes en continu provoquées par les Antifas et BLM, qui ont causé la mort de 47 Américains innocents et des dégâts se chiffrant en milliards de dollars, les Démocrates dénoncent soudain la violence et amènent la Garde Nationale pour leur protection ? Alors que la protection a été refusée au peuple américain ?”
“L’homme qui autorise nos frontières à être envahies a maintenant besoin de fils barbelés et de 30.000 soldats pour protéger son inauguration virtuelle. Nos frontières sont envahies , mais mettons des clôtures autour de la ville de D.C., pour nous assurer que tous les politiciens sont en sécurité.”
“Je me demande pourquoi le Président-élu le plus populaire de toute l’histoire des Etats-Unis (ça me fait toujours rire), aurait besoin d’une protection d’un niveau de dictateur.”
“ Je vis ici et peux confirmer que c’est vrai. C’est quand même bizarre. Honnêtement, on a l’impression qu’ils se préparent pour un coup d’état militaire.”
“Oui, nous avons tout ce qu’il nous faut pour assurer la transition vers le pouvoir des militaires”.
“ Voici la vidéo que Trump a retweetée et pour laquelle le compte de CJ Tru(t)h a été suspendu. Il y avait une raison pour laquelle Trump pensait que nous devrions la voir et une raison pour laquelle Twitter a estimé qu’il ne fallait pas nous le permettre.”
“ Vous pouvez la télécharger en utilisant ce site :
Faites-le aussi vite que possible avant que je ne sois suspendu et que ce tweet ne disparaisse.Si vous n’arrivez pas, contactez-moi par message privé et je vous enverrai la version téléchargée en privé.”
“ Regardez mon tweet épinglé pour mes instructions pour télécharger la vidéo.”
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Suzi Feufollet
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Les démocrates, les géants des GAFA et des réseaux sociaux et les patrons de plusieurs grosses entreprises utilisent la manifestation de mercredi à Washington, DC comme prétexte pour lancer une grande opération contre les libertés de quiconque soutient le président Donald Trump.
«La manifestation de Trump au Capitole d’hier est déjà utilisée comme prétexte pour une répression sans précédent des libertés civiles. Au cours des dernières heures, nous avons entendu des personnes exerçant du pouvoir et de l’autorité exiger que ceux qui soutiennent Donald Trump ne soient plus autorisés à publier des livres, à utiliser Internet ou à voler dans des avions.», a déclaré Tucker Carlson lors de son émission jeudi soir.
«Pour justifier des demandes hallucinantes et terriblement anti-américaines comme celles-ci, ils s’appuient comme d’habitude sur les mensonges et l’hystérie», a poursuivi Carlson.
Sara Nelson, présidente de l’Association of Flight Attendants, a également appelé à interdire certains partisans de Trump de pouvoir prendre l’avion, bien qu’elle n’ait pas été claire en précisant qui devrait être interdit au-delà de ceux qui ont «participé» à ce qu’elle a décrit comme une «insurrection à le Capitole« .
«Certaines des personnes qui ont voyagé dans nos avions hier ont participé à l’insurrection au Capitole aujourd’hui. Leurs actions violentes et séditieuses au Capitole aujourd’hui suscitent de nouvelles inquiétudes quant à leur départ de la région de Washington », a-t-elle écrit dans un communiqué mercredi signé Sara Nelson, qui, avec le syndicat, a soutenu Joe Biden lors des élections de 2020.
De nombreux partisans de Trump ont été licenciés par leurs employeurs pour avoir été identifiés sur les réseaux sociaux comme ayant participé à l’occupation du Capitole, selon Business Insider . Une femme a été licenciée après avoir simplement publié des photos de manifestants pro-Trump et une coupe de champagne avec la légende : «Après avoir pris d’assaut le Capitole, une bonne coupe de champagne est nécessaire !»
]]>Sermon du dimanche 10 janvier 2021, solennité de l’Epiphanie à Morgon
Par R.P. Joseph d’Avallon, ofm cap., aumônier de Civitas
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, ainsi soit-il.
Chers révérends Pères, chers Frères, mes biens chers frères,
En ce beau jour de l’Epiphanie, fêtons le Roi des Rois qui est couché dans la crèche, et les trois rois qui sont venus l’adorer.
Oui, nous devons le dire, nous devons dire :
Bienheureux les peuples dont les chefs se prosternent, le visage dans la poussière, en présence du Roi du Ciel qui repose dans la paille ;
Bienheureux les peuples à qui les chefs ont donné l’exemple en se mettant en marche les tout premiers sur la route qui conduit au Christ ;
Bienheureux les peuples des rois Melchior, Balthasar et Gaspard et de tous les rois, de tous les princes et de tous les chefs dont l’amour de Jésus-Christ a assuré le bonheur ;
Bienheureux les peuples dont les chefs ne sont portés que par la préoccupation du salut de l’âme de leurs sujets et de tout ce qui peut le favoriser ;
Bienheureux les peuples dont les chefs n’amassent pas l’or dans leurs coffres et dans leurs poches mais le mettent au service du Christ et de tous les petits ;
Bienheureux les peuples dont les chefs ne brûlent pas l’encens devant des idoles mais devant l’unique Sauveur ;
Bienheureux les peuples dont les chefs offrent la myrrhe, celle de leurs sacrifices unis à celui de Jésus-Christ, pour le bonheur de leurs sujets ;
Bienheureux les peuples dont les chefs reconnaissent qu’ils n’ont d’autorité que celle qui leur vient de Dieu ;
Bienheureux les peuples que leurs chefs ont dotés d’une constitution politique toute fondée sur la sagesse divine ;
Bienheureux les peuples que leurs chefs gouvernent dans le respect de l’Ordre divin, de la Loi éternelle et de l’Evangile ;
Bienheureux les peuples dont les chefs savent qu’ils auront à rendre compte de l’administration de leurs Etats au Roi des Rois.
Mais s’il est vrai que les chefs vertueux et saints assurent le bonheur de leurs peuples, nous sommes bien placés pour savoir que les chefs impies font certainement leur malheur :
Malheureux les peuples dont les chefs, loin de se prosterner le visage dans la poussière en présence du Roi du Ciel qui repose dans la crèche, s’en font les négateurs et les blasphémateurs ;
Malheureux les peuples dont les chefs font l’étalage de leur athéisme et de leurs débauches et ouvrent les tout premiers la route qui mène à l’enfer, l’enfer sur la terre et l’enfer pour toujours ;
Malheureux les peuples gouvernés par les Antiochus Epiphane, les Hérode, les Néron et par leurs successeurs, dont l’impiété est le scandale de tous ;
Malheureux les peuples trahis par des chefs qui travaillent à leur ruine au profit du mondialisme apatride ;
Malheureux les peuples dont les chefs ont légalisé le massacre des innocents dans le sein de leurs mères et sur le lit des hôpitaux ;
Malheureux les peuples qui sont pulvérisés par la lutte des classes dans les entreprises, par le divorce dans les familles, par la division et la haine partout instillées ;
Malheureux les peuples que l’on gave d’internet, de pornographie pour les abêtir et les abrutir ;
Malheureux les peuples que l’on fait vivre masqués afin de les museler et de tuer tous les rapports humains. Ils n’ont besoin d’autre vaccin que celui contre la religion vaccinale rendue obligatoire ;
Malheureux les peuples que l’on ne flatte avec les idées de souveraineté populaire et de suffrage universel et qu’on trompe avec des élections en trump’l’œil, que pour les mieux asservir ;
Malheureux les peuples dont les chefs sont des tyrans qui piétinent les lois divines et imposent à la place les outrecuidants droits de l’homme ;
Malheureux les peuples dont les chefs qui nient Dieu se comportent comme s’ils étaient Dieu.
Hélas, notre condition est celle d’un peuple malheureux et d’un peuple dont le malheur ne cesse de croître car il est livré à des chefs impies.
Mais que doit-on dire à ces peuples malheureux asservis par des chefs iniques à un régime d’iniquité ?
Leur dirons-nous de soupirer sur leur malheur en attendant des temps meilleurs ?
Leur dirons-nous de ne pas résister à la marée de l’impiété ?
Leur dirons-nous de se laisser enlever sans résister jusqu’aux derniers vestiges de leur Foi ?
Leur dirons-nous de supporter sans broncher l’empire de la décadence, du pourrissement et de la destruction ?
Leur dirons-nous de livrer leurs familles, leurs femmes, leurs enfants, leurs sanctuaires et leurs âtres à la sodomisation rendue obligatoire et aux mœurs contre nature ?
Leur dirons-nous qu’ils obéiront bien au Christ s’ils tendent l’autre joue aux menteurs, aux voleurs, aux violeurs et aux persécuteurs ?
Dirons-nous aux mères de famille de se laisser arracher leurs enfants de leurs ventres et de leurs foyers pour de nouveaux génocides des corps et des âmes ?
Dirons-nous aux pères de famille d’abdiquer de leurs droits et de leurs devoirs de citoyens et de catholiques ?
Dirons-nous que la victoire de l’impiété, de la secte maçonnique et du diable sont désormais inéluctables ?
Vous présenterons-nous des mouchoirs pour que vous pleuriez une civilisation chrétienne à jamais disparue, et que vous pleuriez comme des femmes ce que vous n’avez pas su défendre comme des hommes ?
A Dieu ne plaise ! Et si nous vous tenions ce langage, ne nous écoutez pas.
Voilà ce que nous vous disons :
Vous n’avez pas le droit ni de capituler, ni de désespérer ; vous pécheriez gravement à capituler et à désespérer ;
Vous devez vous souvenir que si Dieu est avec nous, personne n’est contre nous ;
Vous devez vous rappeler que David a vaincu Goliath, que Déborah, Judith, Esther dans l’Ancien Testament, sainte Jeanne d’Arc, saint Jean de Capistran, saint Pie V, et tant d’autres dans le Nouveau ont remporté tant d’éclatantes victoires qu’il est mille fois démontré par l’Histoire que Dieu se rie de ses ennemis ;
Vous devez égrenez sans répit vos Rosaires comme on maintient son doigt appuyé sur la gâchette d’une arme automatique ultra-performante ;
Mais si vous devez égrener vos Rosaires et ne pas cesser de prier, vous ne devez pas vous dire non plus que vous avez fait tout ce que vous aviez à faire par vos prières ;
Vous avez le devoir de vous investir, mieux que nos pères ne l’ont fait, sur les restes de la dentelle du rempart chrétien pour mener les combats du temps présent ;
Vous devez le faire mieux que nos pères puisque ce que nos pères ont fait n’a pas suffi pour garder nos autels et nos foyers ;
Vous le devez à Dieu qui vous a marqués du sceau de la confirmation comme ses soldats ;
Vous le devez à vos patries terrestres qui sont menacées de mort par l’internationalisme apatride ;
Vous le devez à vos enfants pour qu’ils ne soient ni des dhimmis de l’islamisme, ni des ilotes du mondialisme ;
Vous le devez de tout votre cœur, de toute votre âme, de toutes vos forces et jusqu’à la dernière goutte de votre sueur et de votre sang s’il le faut.
Et nous le disons tant aux hommes qu’aux femmes, car lorsqu’on est dans un temps où « les évêques ont des courages de filles, les filles doivent avoir des courages d’évêques. »1
Cette année, au tirage des rois, nous n’accepterons de tirer que des rois, que des reines, que des chefs agenouillés devant le Fils de Dieu et sa sainte Mère. Les autres, nous les rejetterons. Et après nous être agenouillés avec nos rois, avec nos reines, avec nos chefs, nous nous lèverons tous ensemble pour mener la bataille sous l’étendard du Christ-Roi !
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
R.P. Joseph d’Avallon, ofm cap.
1 Pour reprendre le mot fameux de sœur Jacqueline Pascal du 23 juin 1661.
« Faites semblant d’être faibles lorsque vous êtes fort. Toute guerre est basée sur la tromperie. Ainsi, lorsque nous sommes capables d’attaquer, nous devons en sembler incapables ; lorsque nous utilisons activement nos forces, nous devons sembler inactifs ; lorsque nous sommes proches, nous devons faire croire à l’ennemi que nous sommes au loin ; lorsque nous sommes éloignés de lui, nous devons lui faire croire que nous sommes tout près”.
“Je disais souvent mon souhait était de perdre tout ce que j’avais pendant quelque temps, pour savoir qui était loyal envers moi et qui ne l’était pas. Car ce n’est pas quelque chose qu’il est possible de deviner ou de prédire. Il y a des gens dont vous croyez dur comme fer qu’ils seront loyaux envers vous en toute circonstance, jusqu’à parier sur votre propre vie qu’ils vous resteront fidèles, avant de vous apercevoir qu’il n’en était rien. Vous avez des amis, des membres de votre famille même, qui vous adoraient et dont vous n’auriez jamais soupçonné qu’ils se retourneraient contre vous. Et pourtant, c’est ce qui m’est arrivé.”
“J’ai veillé tard dans la nuit pour regarder la conclusion de la plus grande tentative de vol d’une élection. Le crime est consommé. Dans les prochains jours, de nombreux traîtres seront arrêtés et emprisonnés. Le Président Donald J. Trump fera un nouveau mandat de 4 ans !!!”
En Grande-Bretagne, le confinement strict est de nouveau de retour, et cette fois-ci pour un minimum de deux mois, et toujours pour une maladie qui ne cause pas plus de mortalité que les années de mauvaises grippes.
Si en Angleterre, les lieux de culte vont rester ouverts, la gauchiste Nicola Sturgeon, Premier ministre de l’Ecosse et qui n’a d’étiquette « nationaliste » que parce qu’elle aspire à l’indépendance de la sauvage Calédonia pour mieux s’arrimer à l’Europe, au pluralisme ethnique et au mondialisme apatride, a décidé de les fermer.
Ainsi après les messages d’amour envoyés à l’Union européenne au lendemain de l’entrée en vigueur du Brexit, qui pourrait être suivi par la demande d’un nouveau référendum sur l’indépendance, l’exécutif local diffère de Downing Street également sur le nouveau verrouillage organisé pour contenir la variante de coronavirus identifiée en décembre.
Lundi dernier, en fait, devant le Parlement écossais, Nicola Sturgeon a annoncé que parmi les décisions prises le matin par « son » Conseil des ministres contre la propagation de l’infection, il y aurait également la fermeture de lieux de culte. Le Premier ministre d’Edimbourg a annoncé, quoique avec « un réel regret », qu’il jugeait « nécessaire que les lieux de culte ferment totalement pendant cette période » avec les seules exceptions autorisées pour le streaming des services religieux. La célébration des funérailles et des mariages sera autorisée mais avec des accès strictement limités (vingt dans le premier cas, cinq dans le second). Dans sa déclaration, Sturgeon a déclaré qu’elle était « consciente de l’importance du culte communautaire pour les gens » et a qualifié de « dévastatrice » ces nouvelles restrictions qui dureront.
Pourtant, ce qui a été décrit au Parlement de Holyrood en termes de décision douloureuse mais inévitable, se décline comme un choix pris uniquement par le gouvernement d’Édimbourg : lors du troisième confinement national, en fait, les lieux de culte pourront rester ouverts en Angleterre dans le respect des limites existantes et de la distanciation sociale. De plus, les lignes directrices sur le nouveau verrouillage, publiées sur le site Web du gouvernement après l’annonce faite lundi soir par Boris Johnson, ont confirmé la limite précédente de trente personnes autorisées à assister à des funérailles.
La ligne dure du gouvernement écossais dirigé par les « nationalistes » n’est pas du tout appréciée par les évêques écossais qui ont publié une déclaration hier, se déclarant « perplexes face à la décision, étant donné que les mesures strictes prises depuis mars dernier pour garantir la sécurité publique dans nos églises ont été efficaces ». Selon la Conférence épiscopale écossaise, il n’y a aucune preuve scientifique qui puisse « justifier l’inclusion des lieux de culte parmi les flambées de contagion » et cela fera apparaître les restrictions aux catholiques comme « arbitraires et injustes ». Les évêques ont également souligné que le nouveau verrouillage ordonné par l’exécutif local avait « épargné » des secteurs tels que la construction ou les sports d’élite qui en mars avaient souffert de limitations tout comme les lieux de culte.
Mais ce n’est pas la seule disparité de traitement dénoncée par la Conférence épiscopale dans la déclaration de mercredi dernier : en fait, la comparaison avec ce qui a été décidé en Angleterre est inévitable, où « la contribution essentielle du culte public au bien-être spirituel de tous les citoyens pendant cette crise a maintenant été reconnue par la décision de ne pas fermer les lieux de culte alors que le gouvernement écossais s’est apparemment retiré de ce point de vue, provoquant consternation et confusion. »
Et de penser qu’en novembre, alors que l’introduction du second confinement national avait signifié l’arrêt initial des pratiques religieuses publiques en Angleterre puis retiré plus tard, les fidèles écossais avaient été autorisés à continuer à fréquenter les lieux de culte. S’exprimant ces dernières heures à cause de la polémique qui a surgi dans le pays suite à sa décision, Sturgeon a défendu le choix de se distancier de l’exécutif londonien :
« Oui, c’est l’un des points de différence entre l’Ecosse et le Royaume-Uni , a-t-elle déclaré, mais il en va de même pour le fait que nous ayons décidé d’agir bien plus tôt dans la courbe de cette vague pandémique pour la garder sous contrôle. »
« Je ne m’attends pas à ce qu’un croyant en soit heureux », a ajouté le Premier ministre qui, en même temps, (le fameux en même temps de Macron fait des émules…) s’est montré nettement moins alarmiste quant à la possibilité d’envoyer les Écossais aux urnes en mai pour le renouvellement du Parlement, se déclarant convaincue que « les processus démocratiques doivent se poursuivre » et rappelant qu’ « il y a eu des élections en de nombreux autres pays pendant la pandémie ».
Le culte catholique doit s’arrêter pour cause de propagation du méchant corona mais non le culte démocratique des urnes qui est miraculeusement épargné… Voilà un virus nettement discriminant…
Francesca de Villasmundo
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« L’exercice est périlleux : remettre sur la table la prolongation de l’état d’urgence sanitaire sans pour autant raviver la polémique tout juste éteinte du projet de loi «instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires» retiré, à peine adopté en Conseil des ministres, avant les fêtes de Noël. »
On se souvient en effet que Twitter avait fait reculer le 22 décembre dernier le gouvernement Castex qui voulait faire voter en procédure accélérée son projet de loi visant à pérenniser l’état d’urgence sanitaire et transformer ainsi les non vaccinés en citoyens de seconde zone.
Selon les informations distillés par le journal bobo-radical-chic de la gauche caviar, – cette gauche qui produit tels des cloportes des Lang, Duhamel, Cohn-Bendit, suivez mon regard, ces socialo-libéraux abusant outrageusement de « leur » liberté dans les années passées et exigeant aujourd’hui un confinement covidesque liberticide pour sauver leur vieille peau de libertaires libidineux -,
« le gouvernement va proposer le 13 janvier en Conseil des ministres un projet de loi visant à repousser l’état d’urgence sanitaire en France du 16 février au 1er juin inclus. Le cadre juridique de l’état d’urgence – qui instaure un régime transitoire – sera quant à lui repoussé du 1er avril au 31 décembre inclus. Ce texte est une priorité pour le pouvoir puisqu’il lui permet de prendre des mesures contraignantes pour la population afin de limiter la propagation du virus (confinement, limitation des rassemblements dans l’espace public, couvre-feu). »
Une décision qui a fait bondir l’ex-député LREM, Martine Wonner, une des rares voix libre de l’Assemblée Nationale. Dans un tweet, elle s’insurge contre ce nouveau « bâillonnement » des droits fondamentaux des Français et s’interroge :
« la dictature sanitaire est en marche : report des élections régionales, et présidentielles ? ».
@EmmanuelMacron plonge la France dans les abîmes en bâillonnant les droits fondamentaux des Français jusqu’au 31/12/21 !
La dictature sanitaire est en marche : report des élections régionales, et présidentielles ?
Serait-ce donc les premiers « bons »conseils de @McKinsey? pic.twitter.com/ahNXt6xZhM— Martine WONNER (@MartineWonner) January 6, 2021
Si cette hypothèse se réalisait dans le futur, nous pourrions avoir là une explication des paroles sibyllines de Macron du 4 décembre dernier :
«Et peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures, parce que les circonstances l’exigeront, et qui rendront impossible le fait que je sois candidat. »
Francesca de Villasmundo
]]>Note de la rédaction: Ce qui suit est une traduction d’une interview donnée par l’archevêque Carlo Maria Viganò sur la «War Room» avec Steve Bannon.
1. Maintenant que le Vatican a renouvelé son accord secret insidieux avec la Chine, accord que vous avez condamné à plusieurs reprises comme promu par Bergoglio avec l’aide de McCarrick, que peuvent concrètement faire les «enfants de lumière» du Grand Réveil pour saper cette impie alliance avec ce régime communiste brutal ?
La dictature du Parti communiste chinois est alliée à l’État profond mondial , d’une part pour qu’ensemble, ils puissent atteindre les objectifs qu’ils ont en commun, d’autre part parce que les plans de la Grande Réinitialisation sont une opportunité puissance économique de la Chine dans le monde, à commencer par l’invasion des marchés nationaux. En même temps qu’elle poursuit ce projet dans sa politique étrangère, la Chine poursuit un plan intérieur de restauration de la tyrannie maoïste, qui nécessite l’annulation des religions (principalement la religion catholique), en les remplaçant par une religion d’État qui de nombreux éléments en commun avec la religion universelle souhaitée par l’idéologie mondialiste, dont le chef spirituel est Bergoglio.
Nous nous trouvons ainsi face à une infâme trahison de la mission de l’Église du Christ, menée par ses plus hauts dirigeants en conflit ouvert avec les membres de la hiérarchie souterraine catholique chinoise qui sont restés fidèles à Notre-Seigneur et à son Église. Mes pensées et mes prières affectueuses sont avec eux et avec le cardinal Zen, éminent confesseur de la foi, que Bergoglio a récemment honteusement refusé de recevoir.
Nous, croyants, devons agir sur le plan spirituel par une prière fervente, en demandant à Dieu de donner une protection spéciale à l’Église en Chine, et aussi en dénonçant continuellement les aberrations du régime chinois. Cette action doit s’accompagner d’un travail de sensibilisation au sein des gouvernements et des institutions internationales qui n’ont pas été compromis par la dictature communiste chinoise, afin que les violations des droits de l’homme et les atteintes à la liberté de l’Église catholique en Chine puissent être dénoncées et puni de sanctions et de fortes pressions diplomatiques. Et c’est la ligne que le président Trump poursuit avec un courage décisif. La complicité de Pékin avec des éléments politiques et religieux impliqués dans des opérations obscures de spéculation et de corruption doit également être révélée. Ces transactions à but lucratif constituent un acte très grave de trahison de la part des politiciens et des fonctionnaires contre leur nation et aussi une grave trahison de l’Église par les hommes qui la dirigent. Je pense aussi que dans certains cas, cette trahison n’est pas seulement perpétrée par des individus mais aussi par les institutions elles-mêmes, comme dans le cas de l’Union européenne, qui finalise actuellement un accord commercial avec la Chine malgré sa violation systématique des droits de l’homme et ses répression violente de la dissidence.
2. Vous avez été très confiant que Dieu désire une victoire de Trump afin de vaincre les forces du mal inhérentes à la grande réinitialisation des mondialistes. Que diriez-vous pour convaincre les opposants qui sont ambivalents à l’idée qu’il s’agit d’une bataille capitale entre les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres?
Je considère simplement qui est l’adversaire de Trump et ses nombreux liens avec la Chine, l’État profond et les partisans de l’idéologie mondialiste. Je pense à son intention de nous condamner tous à porter des masques, comme il l’a franchement admis. Je pense au fait que, incontestablement, il n’est qu’une marionnette entre les mains de l’élite, qui est prête à le destituer dès qu’elle décidera de le remplacer par Kamala Harris.
Au-delà des alignements politiques, il faut en outre comprendre que – surtout dans une situation complexe comme la situation actuelle – il est essentiel que la victoire de celui qui est élu président soit garantie dans sa légitimité juridique absolue, en évitant tout soupçon de fraude et en prenant note des preuves accablantes d’irrégularités qui ont émergé dans plusieurs États. Un président qui est simplement proclamé comme tel par les médias traditionnels affiliés à l’ État profond serait privé de toute légitimité et exposerait la nation à une ingérence étrangère dangereuse, comme cela a déjà été démontré lors des élections en cours.
3. Vous semblez suggérer que l’administration Trump pourrait jouer un rôle déterminant dans le retour de l’Église à un catholicisme pré-François. Comment l’administration Trump accomplit-elle cela et comment les catholiques américains peuvent-ils travailler pour sauver le monde de cette «réinitialisation» mondialiste?
La soumission de Bergoglio à l’agenda mondialiste est évidente, ainsi que son soutien actif à l’élection de Joe Biden. De la même manière, l’hostilité de Bergoglio envers Trump et ses attaques répétées contre le président sont évidentes. Il est clair que Bergoglio considère Trump comme son principal adversaire, l’obstacle qui doit être levé, pour que la grande réinitialisation puisse être mise en mouvement.
Ainsi, d’une part, nous avons l’administration Trump et les valeurs traditionnelles qu’elle partage avec celles des catholiques; d’autre part, nous avons l’ état profond du soi-disant catholique Joe Biden, qui est subordonné à l’idéologie mondialiste et à son programme pervers, anti-humain, antichristique et infernal.
Afin de mettre fin à l’Église profonde et de restaurer l’Église catholique, l’étendue de l’implication des dirigeants de l’Église dans le projet maçonnique-mondialiste devra être révélée: la nature de la corruption et des crimes que ces hommes ont menés à bien, se rendant ainsi vulnérables au chantage, comme cela se produit de manière similaire dans le domaine politique pour les membres de l’État profond, à commencer par Biden lui-même. Ainsi, il est à espérer que toute preuve de tels crimes en possession des services secrets sera mise au jour, notamment en relation avec les véritables motifs qui ont conduit à la démission de Benoît XVI et les complots sous-tendant l’élection de Bergoglio , permettant ainsi l’expulsion des mercenaires qui ont pris le contrôle de l’Église.
Les catholiques américains ont encore le temps de dénoncer cette subversion mondiale et d’arrêter l’établissement du Nouvel Ordre Mondial : laissez-les penser à quel genre d’avenir ils veulent pour les générations à venir et à la destruction de la société. Qu’ils réfléchissent à la responsabilité qu’ils ont devant Dieu, leurs enfants et leur nation: en tant que catholiques, en tant que pères et mères de leur famille et en tant que patriotes.
4. Contre toute attente, les Américains moyens se battent pour dénoncer le vol massif et coordonné de notre élection: quels conseils donneriez-vous à nos politiciens récalcitrants sur ce qui est en jeu pour notre nation et le monde si nous nous soumettons à ce vol ?
La Vérité peut être niée par la majorité pendant un certain temps, ou par certaines personnes pour toujours, mais elle ne peut jamais être cachée à tout le monde pour toujours. Telle est la leçon de l’Histoire, qui a inexorablement révélé les grands crimes du passé et ceux qui les ont commis.
J’invite ainsi les politiciens, au-delà de leurs loyautés politiques, à devenir des champions de la Vérité, à la défendre comme un trésor indispensable qui seul peut garantir la crédibilité des institutions et l’autorité des représentants du peuple, en accord avec le mandat qu’ils ont reçu, le serment qu’ils ont juré de servir leur pays et leur responsabilité morale devant Dieu. Chacun de nous a un rôle que la Providence nous a confié et dont il serait coupable de se soustraire. Si les États-Unis ratent cette opportunité, maintenant, il sera effacé de l’Histoire. S’il permet à l’idée de se répandre parmi les masses que le choix électoral des citoyens – première expression de la démocratie – peut être manipulé et contrecarré, il sera complice de la fraude, et méritera certainement l’exécration du monde entier, qui considère l’Amérique comme une nation qui a combattu et défendu sa liberté.
5. Dans votre lettre au Président du 25 octobre, à l’occasion de la solennité du Christ-Roi, vous avez qualifié les efforts de l’État profond de «l’assaut final des enfants des ténèbres». Il y a un effort concerté de la part des mondialistes et de leurs partenaires médiatiques pour dissimuler et obscurcir le véritable programme tyrannique implicite dans la Grande Réinitialisation, en l’appelant une théorie du complot sauvage. Que diriez-vous aux sceptiques qui ignorent parfaitement les signes et prévoient de soumettre l’humanité à la domination des élites mondiales?
Le plan de la Grande Réinitialisation utilise les médias grand public comme un allié indispensable : les entreprises médiatiques font presque toutes partie activement de l’État profond et savent que le pouvoir qui leur sera garanti à l’avenir dépend exclusivement de leur adhésion servile à son agenda.
Qualifier ceux qui dénoncent l’existence d’un complot de «théoriciens du complot» confirme, pour le moins, que ce complot existe et que ses auteurs sont très contrariés d’avoir été découvert et dénoncé à l’opinion publique. Et pourtant, ils l’ont eux-mêmes dit : plus rien ne sera pareil. Et aussi : Build Back Better , dans un effort pour nous faire croire que les changements radicaux qu’ils veulent imposer ont été rendus nécessaires par une pandémie, par le changement climatique et par le progrès technologique.
Il y a des années, ceux qui parlaient du Nouvel Ordre Mondial étaient appelés des théoriciens du complot. Aujourd’hui, tous les dirigeants du monde, y compris Bergoglio, parlent en toute impunité du Nouvel Ordre Mondial, le décrivant exactement dans les termes qui ont été identifiés par les soi-disant théoriciens du complot. Il suffit de lire les déclarations des globalistes pour comprendre que la conspiration existe et qu’ils s’enorgueillissent d’en être les architectes, au point d’admettre la nécessité d’une pandémie pour atteindre leurs objectifs d’ingénierie sociale.
Aux sceptiques, je demande : si les modèles qui nous sont proposés aujourd’hui sont si terribles, à quoi nos enfants pourront-ils s’attendre lorsque l’élite aura réussi à prendre le contrôle total des nations? Familles sans père et mère, polyamour, sodomie, enfants qui peuvent changer de sexe, annulation de la religion et imposition d’un culte infernal, avortement et euthanasie, abolition de la propriété privée, dictature de la santé, pandémie perpétuelle. Est-ce le monde que nous voulons, que vous voulez pour vous-mêmes, vos enfants, votre famille et vos amis?
Nous devons tous prendre conscience à quel point les partisans du Nouvel Ordre Mondial et de la Grande Réinitialisation détestent les valeurs inaliénables de notre civilisation gréco-chrétienne, telles que la religion, la famille, le respect de la vie et les droits inviolables de la personne humaine, et souveraineté nationale.
6. Vous avez averti à plusieurs reprises que «l’État profond» et «l’Église profonde» se sont entendus pour comploter de diverses manières pour renverser Benoît ainsi que le président Trump. Outre Theodore McCarrick, qui d’autre est derrière cette alliance infernale, et comment les catholiques la sapent-ils et la dénoncent-elles ?
Il est évident que McCarrick a agi au nom de l’ État profond et de l’ Église profonde , mais il ne l’a certainement pas fait seul. Toute son activité suggère une structure organisationnelle très efficace composée de personnes que McCarrick avait promues et couvertes par d’autres complices.
Les événements qui ont conduit à la démission de Benoît XVI doivent encore être clarifiés, mais l’un des membres de l’ église profonde , le défunt cardinal Danneels, a admis qu’il faisait partie de la soi-disant mafia de Saint-Gall, qui a essentiellement œuvré à apporter à propos du « printemps de l’Église » dont John Podesta, chef de cabinet d’Hillary Clinton, a écrit dans ses courriels publiés par Wikileaks.
Il existe donc un groupe de conspirateurs qui ont travaillé et travaillent toujours au cœur de l’Église pour les intérêts de l’élite. La plupart d’entre eux sont identifiables, mais les plus dangereux sont ceux qui ne s’exposent pas, ceux que le journal ne mentionne jamais. Ils n’hésiteront pas à forcer Bergoglio à démissionner également, tout comme Ratzinger, s’il n’obéit pas à leurs ordres. Ils voudraient transformer le Vatican en maison de retraite pour papes émérites, démolir la papauté et assurer le pouvoir: exactement comme ce qui se passe dans l’État profond, où, comme je l’ai déjà dit, Biden est l’équivalent de Bergoglio.
Afin de faire tomber l’État profond et l’Église profonde, trois choses sont essentielles :
Si nous pouvons nous montrer forts face à cette épreuve; si nous savons nous tenir ancrés au rocher de l’Église sans nous laisser séduire par de faux christs et de faux prophètes, le Seigneur nous permettra de voir – au moins pour l’instant – la défaite de l’assaut des enfants des ténèbres contre Dieu et les hommes. Si par peur ou par complicité nous suivons le prince de ce monde, niant nos promesses de baptême, nous serons condamnés avec lui à une défaite inexorable et à une damnation éternelle. Je tremble pour ceux qui ne réalisent pas la responsabilité qu’ils ont devant Dieu pour les âmes qu’il leur a confiées. Mais à ceux qui combattent courageusement pour défendre les droits de Dieu, de la Nation et de la Famille, le Seigneur assure sa protection. Il a mis sa Très Sainte Mère à nos côtés, la Reine des Victoires et l’Aide des Chrétiens. Nous l’invoquons fidèlement pendant ces jours difficiles, sûrs de son intervention.
Die Octav æ Nativitatis Domini
1 er janvier 2021
La boucle est bouclée. L’ancienne ministre française de la Santé Agnès Buzyn a confirmé mardi sa nomination à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), à Genève, où elle sera chargée du suivi des questions multilatérales.
« Je vous confirme » avoir rejoint le 4 janvier le cabinet du directeur général de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus, a-t-elle déclaré à l’AFP, confirmant une information de l’Opinion.
Médecin spécialiste des leucémies et de la greffe de moelle, elle avait été nommée en mai 2017 au sein du gouvernement d’Edouard Philippe.
En février 2020, au tout début de l’épidémie de coronavirus, elle avait quitté son poste pour remplacer au pied levé Benjamin Griveaux, candidat de la majorité à la mairie de Paris et éclaboussé par un scandale sexuel.
A l’issue d’une campagne calamiteuse, l’ancienne ministre, est arrivée troisième au second tour.
Plus encore que son score décevant, ce sont des confidences publiées par Le Monde au surlendemain du 1er tour qui ont signé sa disgrâce. Elle disait avoir voulu « mettre fin à cette mascarade » des élections avant leur tenue en raison de l’épidémie qui s’annonçait, expression qu’elle a ensuite regrettée.
En retrait depuis son échec électoral, Agnès Buzyn s’était exprimée dans les colonnes du Figaro en mai pour dénoncer « un emballement médiatique d’une violence inouïe, des propos complotistes, antisémites, sur les réseaux sociaux« .
Rappelons que c’est Agnès Buzyn qui, peu avant de quitter son poste ministériel, avait modifié par un arrêté publié le 13 janvier 2000 au Journal officiel la liste des substances vénéneuses pour y inclure l’hydroxychloroquine (commercialisée sous le nom de Plaquenil), mettant ainsi fin à sa vente libre.
Agnès Buzyn qui est l’épouse d’Yves Lévy, l’ex-directeur de l’Institut national de la Santé et de la recherche médicale (Inserm). Le Professeur Raoult avait dénoncé le conflit d’intérêt entre l’Inserm et le ministère de la Santé compte-tenu des relations maritales entre celle qui devenait ministre de la Santé et celui qui était encore à la tête de l’Inserm. Le Professeur Raoult et l’IHU de Marseille étaient alors devenus des cibles de représailles du couple Buzyn-Lévy.
]]>Agnès Buzin, l’ancienne ministre de la Santé, en poste au début de l’épidémie de coronavirus, malheureuse aux élections municipales du printemps 2020 sous les couleurs de LREM où elle subit un échec cuisant, visée depuis le début de la crise du coronavirus par diverses informations judicaires ouvertes par la Cour de Justice de la République après des plaintes déposées contre elle et son successeur au ministère Olivier Veran, quitte les mauvais cieux parisiens pour la Suisse et l’air fétide genevois. Mais pas de panique, elle reste entre gens de « bonne compagnie ». Elle va y retrouver ces amis de la « pandémie » !
Elle intègre en effet le cabinet du directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le gourou covidesque Tedros Adhanom Ghebreyesus. La candidate malheureuse à la mairie de Paris s’y occupera des « affaires multilatérales », ce qui consiste à représenter l’institution « auprès du G7, de l’ONU ou de la Fondation Bill Gates », précise le site d’informations L’Opinion qui relaye la nouvelle.
De la République Française à l’OMS, Agnès Buzin continuera à faire ce qu’elle sait faire, ce pour quoi elle existe encore politiquement : promouvoir la révolution arc-en-ciel, et sa gouvernance mondiale !
Francesca de Villasmundo
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Pas d’extradition donc vers les États-Unis pour le lanceur d’alerte : le tribunal britannique appelé à statuer s’est exprimé aujourd’hui, établissant que le fondateur de Wikileaks ne doit donc pas être soumis à un procès aux États-Unis.
Du moins pour l’instant, car Washington a déjà annoncé une bataille juridique.
La motivation donnée par le juge pour refuser l’extradition concerne les conditions psychologiques du hacker et journaliste australien : Vanessa Baraitser, magistrat en charge à Londres, a souligné comment Assange pouvait décider de se suicider, une fois extradé vers les États-Unis. A la base du non à la mesure d’extradition, donc, la situation mentale chez Assange, décrite comme « pesante » par le juge. L’état de santé d’Assange s’avère en effet particulièrement dégradé.
Le nom de Julian Assange a rebondi dans la presse ces derniers mois : il a été spéculé que Donald Trump pourrait lui accorder la grâce, vu les mesures que le président en exercice des États-Unis est en train d’arranger ces dernières semaines à la Maison Blanche. La suggestion, cependant, n’a pas été mise en pratique pour le moment, et cela malgré qu’une partie de la base électorale du magnat en appelle à cette grâce. La nouvelle de l’échec de l’extradition a été accueillie avec joie par l’avocat et partenaire d’Assange Stella Moris qui, peu avant que le tribunal de Londres ne se prononce, avait comparé le « oui » à l’extradition à « farce impensable ».
Le hacker australien, au centre de l’affaire Wikileaks, est accusé d’une série d’affaires : du piratage à l’espionnage. Comme on le sait, la diffusion de documents, qui ont révélé plusieurs secrets de la politique américaine et au-delà, n’est pas incluse dans les charges. La question de Wikileaks a également beaucoup été évoquée à proximité des élections présidentielles que Trump a remportées contre Hillary Clinton en 2016. Au total, Assange pourrait être en mesure de purger, s’il est reconnu coupable, des peines liées à des crimes comprenant près de 200 ans d’emprisonnement. L’affaire est internationale, et fait d’Assange une sorte de symbole de la liberté du journalisme.
Les États-Unis, peu de temps après la lecture de la sentence britannique, ont fait part de leur ferme volonté de faire appel. Le collège défensif du hacker parie désormais tout sur la liberté : l’idée est de payer une caution pour permettre à Assange de sortir du régime dans lequel il est actuellement. En bref, le cursus judiciaire de cette histoire n’est pas encore terminé.
Parmi ceux qui se sont réjouis de cette déclaration, il convient de mentionner Yanis Varoufakis, ancien ministre des Finances de la Grèce. L’économiste a commenté la décision via Twitter :
« Je viens d’apprendre que le juge a condamné l’extradition de Julian Assange vers les États-Unis. Le gouvernement américain, bien sûr, fera appel. Donc, bien que Julian ne soit pas encore en sécurité, une lueur d’espoir semble avoir transpercé une longue ombre sur la décence humaine et la liberté de la presse », a écrit Varoufakis.
Un autre lanceur d’alerte américain, aujourd’hui réfugié en Russie, Edward Snowden a pareillement salué cette decision britannique sur twitter en remerciant « tous ceux qui ont fait campagne contre l’une des menaces les plus dangereuses pour la liberté de la presse depuis des décennies ».
Thank you to everyone who campaigned against one of the most dangerous threats to press freedom in decades. https://t.co/SVHvliVxLl
— Edward Snowden (@Snowden) January 4, 2021
Francesca de Villasmundo
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