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action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /home/mediaspresse/www/wp-includes/functions.php on line 6114Trump a crié à la fraude, à la conspiration menée par toute la bien-pensance universelle contre lui afin qu’il perde les élections. Le monde s’est moqué de lui, l’a traité de complotiste, a diabolisé ses soutiens. Tout le monde se souviendra des graves allégations de fraude formulées par l’équipe juridique de Trump au lendemain de la victoire de l’opposant démocrate, qualifiées de théories de « conspiration » et sans fondement. « Ils nous ont volé les élections », avait déclaré Trump devant ses partisans le 6 janvier. Et pourtant…
Tout à leur victoire, les opposant à Donald Trump se lâchent et ne cachent plus les sombres manœuvres entreprises pour empêcher que l’ancien président des Etats-Unis ne fasse un second mandat à la Maison Blanche.
Ce qui ressemble bien à une vaste conspiration commence à émerger dans la presse mainstream, racontée en détails par des protagonistes fiers d’eux-mêmes. Le Time dans un article du 4 février dernier intitulé L’histoire secrète de la campagne fantôme qui a sauvé les élections de 2020, de la journaliste Molly Ball (biographe de la présidente de la Chambre Nancy Pelosi) décrit ce qui s’est passé, recueillant les témoignages de toutes les figures clés du plan.
Il n’y a peut-être pas eu de fraude, qui n’a de toute façon pas été légalement prouvée, mais Donald n’a pas eu tort de parler de « conspiration » contre lui. Dans son étude le Time relate une histoire interne sans précédent et dramatique d’un « effort extraordinaire visant à ‘garantir que le vote soit libre et équitable’ ».
« Pendant plus d’un an, une coalition d’activistes a soutenu les institutions américaines alors qu’elles étaient simultanément attaquées par une pandémie impitoyable et un président à tendance autocratique », écrit Time. En pratique, l’existence d’un « complot » contre Trump est admise, mais orchestrée afin de protéger les institutions américaines :
« Bien qu’une grande partie de cette activité ait été menée par la gauche, admet le journal, elle a été séparée de la campagne de Biden et a franchi les lignes idéologiques, avec des contributions cruciales d’acteurs non partisans et conservateurs. »
Cependant, ces « militants » ne cherchaient pas à saper l’éventuelle victoire du Donald, précise Molly Ball, mais à protéger le bon déroulement des élections, selon l’hebdomadaire américain. « Toute tentative d’interférer avec le résultat correct des élections a été rejetée », déclare Ian Bassin, co-fondateur de Protect Democracy, l’une des nombreuses entreprises impliquées. :
« Mais il est extrêmement important pour le pays de comprendre que cela n’est pas arrivé par accident. Le système n’a pas fonctionné comme par magie. »
L’article souligne qu’il y a eu un effort coordonné, d’une durée de plus d’un an, pour arrêter Trump, depuis l’automne 2019. Il en ressort qu’il s’agit d’une collusion de syndicats, d’hommes d’affaires, de médias, de grandes technologies et de mouvements de protestation des droits civiques avec l’un des deux partis en lice, le Parti démocrate. Des intérêts politiques et économiques puissants et très différents qui ont agi à l’unisson contre un candidat, Trump.
Comme Molly Ball l’écrit avec insistance, « leur travail a touché tous les aspects de l’élection. Ils ont convaincu les États de changer leurs systèmes électoraux et leurs lois, ont aidé à lever des centaines de millions de fonds privés et publics. Ils ont remporté des procès visant à supprimer des votes, recruté des armées de sondeurs pour les bureaux de vote et incité des dizaines de millions de personnes à voter par correspondance pour la première fois ». Le Parti démocrate, pendant la campagne électorale, a en fait exhorté les électeurs à voter par correspondance, tandis que Donald Trump a constamment remis en question sa fiabilité. Résultat : 3/4 des votes par courrier sont allés à Joe Biden et ils se sont avérés fondamentaux dans sa victoire. Dans ce plan, l’épidémie de Covid a fourni le prétexte pour changer le mode de scrutin, même sans introduire de vraies lois. Le vote par correspondance, que l’article Time présente comme une « révolution » a affecté la moitié de l’électorat. Et s’il y a un type de vote qui ne peut pas être contrôlé, c’est bien le vote postal. En outre, ces militants démocrates « ont réussi à pousser les entreprises de médias sociaux à adopter une ligne plus ferme contre la désinformation ».
Au centre de l’intrigue, selon Ball, est le stratège de l’AFL-CIO (la plus grande fédération syndicale américaine) Mike Podhorzer, conseiller du président du syndicat. Il est également président du conseil d’administration de l’Analyst Institute et de Catalist, ainsi que du conseil d’administration d’America Votes, du Comité des États et de la Majorité Progressiste. Toutes des institutions qui, dans le passé, ont reçu d’importants dons du magnat libéral George Soros, du monde d’Hollywood et de la Big Tech. À partir de septembre 2019, il aurait commencé à créer un réseau d’acteurs politiques influents pour contrecarrer « deux résultats électoraux potentiels », à savoir la possibilité que Trump perde les élections et ne l’admette pas, ou la possibilité qu’il les remporte « avec les votes du Collège électoral (malgré la défaite au vote populaire), corrompant le processus de vote dans les États clés ».
Le réseau mis en place par Podhorzer comprenait de puissants gauchistes :
«Le mouvement ouvrier, la gauche institutionnelle comme Planned Parenthood et Greenpeace, des groupes de résistance comme Indivisible et MoveOn, des experts en informatique et des stratèges progressistes, des organisateurs de base au niveau de l’État, des militants pour la justice raciale et autre. »
Les grands réseaux sociaux Twitter et Facebook se sont impliqués dans le plan depuis sa création en novembre 2019, lorsque Mark Zuckerberg (Facebook) et Jack Dorsey (Twitter) ont rencontré des militants progressistes pour concevoir une stratégie contre les « fausses nouvelles ». Laura Quinn, qualifiée dans l’article de « co-fondatrice activiste progressiste de Catalist, a commencé à étudier le problème il y a des années. Elle a dirigé un projet secret qui n’avait jamais été discuté en public auparavant, qui traçait la désinformation en ligne. » On a vu comment ce mécanisme fonctionne, dans la pratique : comptes de Trump suspendus, actualité supprimée, doutes sur la fraude électorale censurés par les réseaux sociaux. Ou les notifications persistantes de zélés « vérificateurs de faits indépendants » qui contestent tout ce que les utilisateurs disent en faveur de Trump.
Le mouvement Black Lives Matter a été particulièrement crucial, sur de nombreux points de vue. D’abord parce qu’il a permis la mobilisation de nombreux militants, devenus opérateurs et scrutateurs dans les bureaux de vote, et des services d’ordre intimidants, « une force de défenseurs électoraux qui, contrairement aux scrutateurs normaux, ont été formés aux techniques de désescalade ». Les représentants de la liste républicaine qui ont été violemment éloignés des bureaux de vote en savent peut-être quelque chose.
On lit aussi dans l’article du Time que « 150 groupes libéraux, de la Marche des femmes (Women’s March) au Sierra Club, de Colour of Change à Democrats.com en passant par les Socialistes démocrates d’Amérique, ont rejoint la coalition Protect Results. Le site Web du groupe, aujourd’hui disparu, contenait une carte de 400 manifestations post-électorales, qui devait être activée par message dès le 4 novembre. Pour arrêter le coup d’État qu’elles craignaient, les organisations de gauche étaient prêtes à envahir les rues ».
L’opinion des interviewés sur la couverture médiatique (visiblement biaisée) de l’élection est tout autant étrange :
« Fox News a surpris tout le monde en attribuant la victoire de l’Arizona à Biden (alors que seulement 40% des votes étaient encore comptés, ndlr). La campagne de sensibilisation du public a fonctionné : les présentateurs de télévision ont fait tout leur possible pour conseiller la prudence et encadrer avec précision le décompte des voix. »
Un tel jugement n’a aucun sens, à moins de le lire à la lumière des plans de protestation de masse : même les médias craignaient une déstabilisation, évidemment. S’ils avaient annoncé une victoire de Trump, ils auraient soulevé l’enfer. Mais est-ce le moyen de « sauver la démocratie » ?
Dans ce plan organisé par Podhorzer & Cie pour empêcher Trump de remporter les élections et que révèle Time, le scénario d’une véritable victoire de Donald n’a même pas été envisagé. Lu comme ceci, cela semblerait un plan d’urgence pour éviter un coup d’État de Trump. Mais un parti politique qui prépare des plans d’urgence un an à l’avance est souvent, sinon toujours, le parti qui se tient debout pour préparer le coup d’État. En fait, chaque coup d’État de l’histoire est mené avec les meilleures intentions : déjouer le coup d’État de l’ennemi…
Francesca de Villasmundo
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17 décrets qui aggravent la culture de mort déjà si présente sur le continent outre-Atlantique et ce malgré les efforts de l’administration Trump pour la restreindre. Notamment, Joe Biden a annulé l’interdiction des fonds fédéraux destinés aux groupes d’aide internationaux qui pratiquent ou informent sur les avortements. Selon lui, ce règlement nommé Mexico City Policy est une « attaque contre l’accès à la santé pour les femmes».
Le règlement de Mexico a été adoptée pour la première fois par le président républicain Ronald Reagan en 1984 et a été renouvelé à plusieurs reprises par les républicains et annulé par les démocrates.
Pendant des décennies, les États-Unis ont interdit de dépenser de l’argent pour des avortements à l’étranger, mais le règlement de Mexico va encore plus loin. Il empêche les fonds fédéraux d’aller aux organisations qui fournissent des avortements, des conseils en matière d’avortement ou qui défendent le droit légal à l’avortement.
Le Mexico City Policy a été élargi sous Donald Trump, qui a interdit aux fonds d’aller à des organisations non gouvernementales (ONG) qui financent elles-mêmes des groupes d’avortement.
Un rapport du Government Accountability Office des États-Unis publié l’année dernière a révélé qu’en 2017, les ONG n’avaient pas pu recevoir environ 153 millions de dollars (112 millions de livres sterling) parce qu’elles avaient choisi de ne pas réduire les programmes d’avortement.
Biden a également demandé au département américain de la Santé d’envisager immédiatement de supprimer les restrictions de l’ère Trump à un programme national de planification familiale pour les Américains à faible revenu connu sous le nom de Titre X. La refonte du programme Title X par Trump a permis de retirer des dizaines de millions de dollars de tout centre de santé proposant ou référant des patients pour des avortements non électifs, comme Planned Parenthood.
Le nouveau président a également retiré les États-Unis d’une résolution de 2020 connue sous le nom de Consensus de Genève, une charte non contraignante de plus de 30 pays qui s’opposent à l’avortement.
Ces actions de Joe Biden en faveur de la culture de mort, et de Planned Parenthood, surviennent au milieu de batailles juridiques sur l’avortement, car plusieurs États du sud, pour la plupart républicains, adoptent des réglementations locales qui réduisent considérablement l’accès à l’IVG. Les conservateurs sont également résolus à tenter de renverser la décision historique de la Cour suprême de 1973 dans Roe contre Wade, qui a légalisé l’avortement aux États-Unis, après que Donald Trump a nommé des juges qui ont fait pencher la cour en faveur des conservateurs.
Lors de son premier jour à la Maison Blanche Joe Biden a également signé un décret élargissant le programme d’assurance Obamacare.
Joe Biden s’est insurgé contre les critiques qui l’accusent de gouverner par décret, plutôt que par des législations du Congrès :
« Il n’y a rien de nouveau que nous faisons ici à part la restauration de la loi sur les soins abordables … telle qu’elle était avant que Trump ne devienne président », a-t-il déclaré.
Alors que Trump n’avait signé 32 décrets lors des cent premiers jours de présidence, une semaine après son arrivée à la Maison Blanche, Joe Biden en a déjà signé 34 , un record. 34 décrets, pour démolir l’héritage de Tump, et majoritairement en faveur de la culture de mort et de la révolution arc-en-ciel…
Francesca de Villasmundo
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Le milliardaire cosmopolite George Soros avait fait le nécessaire pour s’assurer que les candidats pro-avortement puissent obtenir un coup de pouce de certains des groupes mortifères les plus extrêmes lors des élections de 2020 aux Etats-Unis. Pour noyer le poisson quant au financement qu’il apporte à des politiciens, Soros a financé des organisations pro-avortement qui, à leur tour, ont financé des politiciens.
Les archives de la Commission électorale fédérale (FEC) montrent que le super PAC de Soros – Democracy PAC – a donné au moins 2.545.454,55 $ au groupe radical Planned Parenthood Votes (PPV). Le groupe, qui est associé à Planned Parenthood, «apporte des contributions aux candidats qui soutiennent l’avortement», selon Influence Watch. Planned Parenthood Votes a consacré jusqu’à 10 863 121 $ en dépenses totales pour les élections fédérales au cours du cycle 2020. Cela signifie que le financement de Democracy PAC a représenté 23% des dépenses du cycle électoral 2020 de Planned Parenthood Votes pour les élections fédérales.
Mais il y avait un autre groupe politique pro-avortement qui a également reçu une grosse somme d’argent du Soros PAC. Le radical NARAL Freedom Fund a également reçu 1 million de dollars de Democracy PAC en mars.
Le propriétaire de Bloomberg News, Michael Bloomberg, a également donné 4 millions de dollars à PPV au cours du cycle 2020.
Et ce n’est ici qu’une petite partie des financements accordés par Soros à des candidats aux élections américaines.
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Suzi Feufollet
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Et un lot entier de fichiers relatifs à l’Obamagate :
]]>Etats-Unis – Les militants pro-avortement ont félicité mercredi Samantha Power, choisie par Joe Biden pour diriger l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), en tant que « voix ferme pour les droits de l’homme ».
L’équipe de transition de Biden a annoncé cette nomination de Samantha Power qui rejoint une liste croissante de personnes pro-avortement et pro-LGBT qui devraient composer la nouvelle administration présidentielle.
A ce poste, Samantha Power devrait rétablir le financement avec l’argent des contribuables de l’association mortifère Planned Parenthood et d’autres groupes mondiaux de promotion de l’avortement – des approvisionnements de fonds que le président Donald Trump avait coupé à travers sa politique de protection de la vie.
Samantha Power a précédemment travaillé dans l’administration du président Barack Obama en tant que représentante aux Nations Unies. Avant cela, elle avait siégé au Conseil national de sécurité où elle a conseillé Obama et Biden sur les « droits des femmes », qui, pour les dirigeants démocrates, comprend l’avortement à la demande.
« Samantha Power est une voix de conscience et de clarté morale de renommée mondiale », a déclaré M. Biden dans un communiqué.
Avant Trump, la branche internationale de Planned Parenthood recevait environ 100 millions de dollars de subventions et la chaîne d’avortement britannique Marie Stopes International environ 73 millions de dollars.
Joe Biden, que des naïfs imaginent être un catholique, a promis de rétablir le financement de Marie Stopes International ainsi que de Planned Parenthood, qui pratique plus de 345.000 avortements chaque année aux États-Unis seulement.
Les personnalités pro-avortement qui devraient composer l’administration Biden sont à ce jour :
La sénatrice américaine Kamala Harris de Californie en tant que vice-présidente
Le maire de Boston Marty Walsh en tant que secrétaire au Travail
Gina Raimondo, gouverneure du Rhode Island, secrétaire au Commerce
Le procureur général de Californie Xavier Becerra en tant que secrétaire du département américain de la Santé et des Services sociaux
La députée du Nouveau-Mexique Deb Haaland au poste de secrétaire à l’Intérieur
L’ancien chef de l’administration Obama et Clinton Ronald Klain en tant que chef de cabinet
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Il Giornale: Mgr Viganò, pourquoi avez-vous écrit une lettre en faveur du président Trump?
Ma mission officielle dans ce pays immense et bien-aimé est terminée, mais le défi auquel le Pape Benoît a fait allusion presque prophétiquement, et dans lequel il a choisi de m’impliquer, est toujours plus présent que jamais; en effet, il est devenu de plus en plus dramatique, prenant des dimensions immenses: le destin du monde se joue à cette heure précisément sur le front américain.
Maintenant que je suis libre de ma mission officielle, l’inspiration qui m’a été confiée par le pape Benoît XVI me permet de m’adresser au président Trump avec la plus grande liberté, en soulignant son rôle dans le contexte national et international et à quel point sa mission est décisive dans la confrontation d’époque qui se déroule ces derniers mois.
Il semble aujourd’hui que le Saint-Siège est attaqué par les forces ennemies. Je parle en tant qu’évêque, en tant que successeur des apôtres. Le silence des bergers est assourdissant et bouleversant. Certains évêques préfèrent même soutenir le Nouvel Ordre Mondial, s’alignant sur les positions de Bergoglio et du Cardinal Parolin qui, fréquentant le Club Bilderberg, s’est servilement soumis à ses diktats, comme tant de politiciens ainsi que les médias grand public.
Je suis persuadé que tout ce que j’ai dénoncé dans ma lettre ouverte au président Trump en juin dernier est toujours valable et peut constituer une clé d’interprétation pour comprendre les événements que nous vivons. Cela reste une invitation à avoir de l’espoir.
L’Église catholique en Amérique, par rapport aux élections présidentielles et de façon plus générale, semble être divisée. Le pape dit que la division est une œuvre du diable, mais la fracture de l’épiscopat américain est évidente. Qu’est-ce qui se passe?
La scission au sein de l’épiscopat américain est le résultat d’une action idéologique menée depuis les années 1960 notamment au sein des universités catholiques – et par les jésuites en particulier – dans la formation de générations entières de jeunes. L’endoctrinement progressiste (sur le front politique) et l’endoctrinement moderniste (sur le front religieux) ont créé un soutien idéologique pour 1968 qui a commencé avec le Concile Vatican II, comme Benoît XVI l’a confirmé dans son essai « Principes de la théologie catholique »: «L’adhésion à un marxisme anarchique et utopique […] a été soutenue en première ligne par de nombreux aumôniers d’universités et d’associations de jeunesse, qui y ont vu s’épanouir les espérances chrétiennes. Le fait dominant se trouve dans les événements de mai 1968 en France. Il y avait des dominicains et des jésuites sur les barricades. L’intercommunion qui a eu lieu lors d’une messe œcuménique en soutien aux barricades a été considérée comme une sorte de jalon dans l’histoire du salut, une sorte de révélation qui a inauguré une nouvelle ère du christianisme. «
Cette scission aux États-Unis, devenue aujourd’hui encore plus évidente à l’approche des élections présidentielles, est également répandue en Europe et en Italie : les plus hauts niveaux de l’Église ont voulu faire un choix radical – et à mon avis malheureux -, préférant suivre la pensée dominante de l’environnementalisme, de l’immigrationisme et de l’idéologie LGBT, plutôt que de se dresser courageusement contre eux et de proclamer fidèlement la Vérité salvifique annoncée par Notre Seigneur. Ce choix a fait un grand bond en avant à partir de 2013 avec l’élection de Jorge Mario Bergoglio, mais il remonte à au moins près de soixante ans. Il est significatif que même alors les jésuites – et toute l’ intelligentsia catholique de la gauche – considérait la Chine de Mao comme un interlocuteur privilégié, presque un moteur du prétendu renouveau social, tout comme aujourd’hui La Civiltà Cattolica de Spadaro, SJ, se tourne vers la Chine de Xi Jinping. Les jésuites, qui soutenaient les guérilleros d’Amérique latine et qui se trouvaient sur les barricades françaises en mai 68, utilisent aujourd’hui les réseaux sociaux pour faire des déclarations similaires, toujours les yeux tournés vers Pékin tout en portant la même haine envers l’Amérique.
Il est vrai que la division est l’œuvre du diable: Satan sème la division entre l’homme et son Créateur, entre l’âme et la grâce. Le Seigneur, cependant, ne divise pas mais sépare: Il crée une frontière entre la Cité de Dieu et la Cité de Satan, entre ceux qui servent le Seigneur et ceux qui combattent contre Lui. Lui-même séparera les justes des méchants au Jour du Jugement (Mt 25, 31-46), après s’être placé «comme une pierre d’achoppement» (Rom 9: 32-33). Séparer la lumière des ténèbres, le bien du mal, selon l’enseignement du Seigneur, est nécessaire si nous voulons suivre le Christ et renoncer à Satan. Mais il est également nécessaire de séparer lorsque nous choisissons qui protège le mieux les droits et la foi des catholiques de ceux qui ne se proclament que nominalement catholiques tout en promouvant en fait des lois qui sont clairement opposées à la fois à la loi divine et naturelle. Tout comme le berger qui avertit le troupeau des attaques des loups est aussi qui divise (Jn 10: 1-18).
Accuser Trump de ne pas être chrétien uniquement parce qu’il veut protéger les frontières nationales; évoquer le spectre du souverainisme comme une catastrophe alors que la traite des êtres humains est autorisée; rester silencieux face à la persécution des chrétiens en Chine et ailleurs, ou silencieux devant les milliers de profanations d’églises qui se produisent depuis des mois partout dans le monde: tout cela n’est-il pas diviseur ?
Joe Biden est pro-avortement, mais certains cercles catholiques américains semblent négliger cet aspect. Regardez, par exemple, James Martin. Qu’est-ce que vous en pensez ?
Le Père James Martin, SJ, est le porte-étendard de l’idéologie LGBT, et malgré cela – en fait, à cause de cela – il a été nommé par Bergoglio comme Consulteur du Secrétariat aux Communications du Saint-Siège. Son travail – qui est véritablement «diviseur» dans le pire sens du terme – sert à renforcer une cinquième colonne de l’agenda progressiste au sein du corps ecclésial, afin de créer une scission idéologique et doctrinale au sein de l’Église et de faire croire aux gens que les exigences du progressisme, y compris la soi-disant homohérésie, venez de bas en haut. En réalité on sait bien que les fidèles sont beaucoup moins enclins aux innovations qu’on ne le laisse croire l’opinion publique, et que la volonté de montrer qu’il y a une supposée «volonté du peuple» pour légitimer des choix incompatibles avec l’enseignement pérenne de l’Église est un stratagème qui a été utilisé à la fois au niveau ecclésial (pensez à la réforme liturgique, que personne n’a demandée) et au niveau civil (par exemple, avec l’idéologie du genre).
Permettez-moi de rappeler les paroles de l’archevêque américain Fulton J. Sheen (1895-1979): « Le refus de prendre parti sur de grandes questions morales est en soi une décision. C’est un acquiescement silencieux au mal. La tragédie de notre temps est que ceux qui croient encore en l’honnêteté manquent de feu et de conviction, tandis que ceux qui croient à la malhonnêteté sont pleins de conviction passionnée .[1] Nous apprenons à séparer qui est avec le Christ de qui est contre lui, car il n’est pas possible de servir deux maîtres.
Vous avez parlé de «l’Église profonde». Est-il vraiment possible qu’il en existe un? Qui le compose?
L’expression «Église profonde» donne une bonne idée de ce qui se passe de manière parallèle au niveau politique et ecclésial. La stratégie est la même, tout comme les objectifs sont les mêmes et, en dernière analyse, les hommes qui sont derrière. En ce sens, «l’Église profonde» est pour l’Église ce que «l’État profond» est pour l’État: un corps étranger qui est illégal, subversif et privé de toute sorte de légitimité démocratique qui utilise l’institution dans laquelle il est ancré. atteindre des objectifs diamétralement opposés aux objectifs de l’institution elle-même.
Un exemple est John Podesta, un libéral et démocrate «catholique», ancien collaborateur de Bill et Hillary Clinton, qui est lié au Center For American Progress de John Halpin . Dans un courriel du 11 février 2012, Sandy Newman a écrit à Podesta pour lui demander des instructions sur la façon de «semer les graines d’une révolution» dans l’Église en matière de contraception, d’avortement et d’égalité des sexes. Podesta a répondu en confirmant que pour obtenir ce «printemps de l’Église» (notez l’écho de l’idée du «printemps conciliaire») les organisations Catholiques en Alliance pour le Bien Commun et Catholiques Unis avait été créé. Ces associations ultra-progressistes ont été financées par George Soros, tout comme il a financé des fondations jésuites et la visite apostolique de Bergoglio aux États-Unis en 2015 [2].
Rappelons également la conspiration de la mafia de Saint-Gall, qui cherchait à évincer Benoît XVI, de concert avec Obama et Clinton qui voyaient en Joseph Ratzinger un obstacle à la diffusion de l’agenda mondialiste.
Je me limite à observer ce que Trump a fait pendant son mandat de président. Il a défendu la vie de l’enfant à naître, coupant le financement de la multinationale de l’avortement, Planned Parenthood, et juste ces derniers jours, il a publié un décret qui exige des soins immédiats pour les nouveau-nés qui ne sont pas tués par l’avortement: jusqu’à présent, ils ont été exploités en prélevant leurs organes et en les vendant. Trump lutte contre la pédophilie et le pédo-satanisme. Il n’a commencé aucune nouvelle guerre et il a réduit drastiquement les guerres existantes en obtenant des accords de paix. Il a rétabli le droit de citoyenneté de Dieu, après qu’Obama soit même allé jusqu’à annuler Noël et imposer des mesures qui répugnaient à l’âme religieuse des Américains.
Et j’observe aussi la guerre médiatique qui a été menée par la presse et les centres de pouvoir contre le président: il est diabolisé depuis 2016, malgré le fait qu’il ait démocratiquement obtenu la majorité des voix. Il est bien entendu que la haine contre Trump – qui n’est pas différente de ce qui se passe en Italie face à des membres de l’opposition beaucoup plus doux – trouve sa vraie motivation dans la prise de conscience de son rôle fondamental dans la bataille contre l’État profond et tout. de ses ramifications internes et externes. Sa dénonciation courageuse du communisme – dont Antifa et BLM sont les versions mondiales tandis que la dictature chinoise est l’incubateur – sert en quelque sorte à remédier au silence de l’Église, qui malgré les appels sincères de la Bienheureuse Vierge Marie à Fatima et à La Salette a préféré ne pas renouveler sa condamnation de cette idéologie infernale. Et si Mgr Sanchez Sorondo peut déclarer en toute impunité, contre toutes les preuves, queLa Chine est le meilleur exécutant de la doctrine sociale de l’Église , nous pouvons nous réjouir des paroles du président des États-Unis et des paroles non moins courageuses de son secrétaire d’État Mike Pompeo.
Il semble que Bergoglio ne rencontrera plus le secrétaire d’État américain [lors du voyage de Pompeo en Italie cette semaine].
Nous sommes maintenant arrivés au point du paradoxe, voire du ridicule. Certaines attitudes semblent plus adaptées aux caprices d’un écolier indiscipliné qu’à la prudence et au protocole diplomatique. Pompeo a dénoncé la violation des droits de l’homme en Chine et a reçu une réponse vive de Santa Marta: Et je ne jouerai plus. Ce sont des comportements indignes qui commencent à provoquer des sentiments de honte non dissimulée même parmi les membres du cercle magique de Bergoglio. Non seulement il ne recevra pas le secrétaire d’État pour ne pas l’entendre lui dire minerai rotonde que les États-Unis ne resteront pas à regarder sans rien faire pendant que l’Église se remet entre les mains d’une dictature féroce, mais il n’a même pas répondu à la demande d’audience du cardinal Zen, confirmant l’intention spécifique du Vatican de renouveler sa soumission le Parti communiste chinois.
Avez-vous organisé un chapelet pour Trump et, si oui, pourquoi?
J’ai été poussé par de nombreuses personnes à lancer cette initiative, et je n’ai pas hésité à la rejoindre, devenant le promoteur de cette croisade spirituelle. C’est une guerre sans quartier, dans laquelle Satan a été déchaîné et les portes de l’enfer tentent de toutes les manières de l’emporter sur l’Église elle-même. Une telle contradiction doit être affrontée avant tout avec la prière, avec l’arme invincible du Saint Rosaire.
L’implication des catholiques dans la politique, sous la direction de leurs pasteurs, constitue leur action concrète en tant que citoyens membres à la fois du Corps mystique du Christ et de la société humaine. Les catholiques ne sont pas des gens «dissociés» qui croient que Dieu est l’Auteur et le Seigneur de la vie lorsqu’ils vont à l’église, mais ensuite, aux urnes ou en tant qu’élus, approuvent le meurtre d’enfants innocents.
Cette action de l’ordre naturel s’accompagne – en fait elle doit être accompagnée – de la conscience que les affaires humaines, ainsi que les événements sociaux et politiques, ont une dimension spirituelle transcendante, dans laquelle l’intervention de la Providence divine est toujours le facteur déterminant. Pour cette raison, les catholiques ne s’extraient pas du monde, ils ne fuient pas l’arène politique, attendant passivement que le Seigneur intervienne avec des éclairs, mais, au contraire, ils donnent un sens à leur action quotidienne, à leur l’engagement dans la société, en lui donnant une âme, un but surnaturel.
La prière, en ce sens, appelle du Seigneur du monde et de l’histoire ces grâces et l’aide spéciale que lui seul peut apporter tant aux actions des particuliers qu’à l’œuvre de ceux qui gouvernent. Et si dans le passé, même les rois païens pouvaient être des instruments du bien entre les mains de Dieu, cela peut encore arriver aujourd’hui, à un moment où la bataille biblique entre les enfants des ténèbres et les enfants de la lumière a atteint un point crucial.
Quels scénarios attendent les catholiques du monde si Trump devait perdre?
Si Trump perd les élections présidentielles, le kathèkon final échouera (2 Th 2: 6-7), ce qui empêche le «mystère de l’iniquité» de se révéler, et la dictature du Nouvel Ordre Mondial, qui a déjà a gagné Bergoglio à sa cause, aura un allié dans le nouveau président américain.
Joe Biden n’a pas sa propre identité: il n’est que l’expression d’un pouvoir qui n’ose pas se révéler pour ce qu’il est vraiment et qui se cache derrière une personne totalement incapable d’exercer la fonction de président des États-Unis, également à cause de ses capacités mentales affaiblies; mais c’est précisément dans sa faiblesse pour les plaintes en suspens, dans sa capacité à être soumis au chantage pour conflits d’intérêts, que Biden se révèle comme une marionnette manœuvrée par les élites, une marionnette entre les mains de personnes assoiffées de pouvoir et prêtes à tout pour l’élargir.
Nous nous retrouverions face à une dictature orwellienne souhaitée à la fois par «l’État profond» et «l’Église profonde», dans laquelle les droits qui sont aujourd’hui considérés comme fondamentaux et inaliénables seraient bafoués avec la complicité des médias traditionnels.
Je tiens à souligner que la religion universelle souhaitée par les Nations Unies et la franc-maçonnerie a des collaborateurs actifs aux plus hauts niveaux de l’Église catholique qui usurpent l’autorité et adultèrent le magistère. Ils s’opposent au Corps mystique du Christ, qui est la seule arche de salut de l’humanité, avec le corps mystique de l’Antéchrist, selon la prophétie du Vénérable Archevêque Fulton Sheen. L’œcuménisme, l’environnementalisme malthusien, le pan-sexualisme et l’immigration sont les nouveaux dogmes de cette religion universelle, dont les ministres préparent l’avènement de l’Antéchrist avant la persécution finale et la victoire définitive de Notre Seigneur. Mais de même que la glorieuse résurrection du Sauveur a été précédée de sa passion et de sa mort, il en est de même pour l’Église qui marche vers son propre calvaire; et tout comme le Sanhédrin pensait qu’il éliminerait le Messie en le crucifiant, de même la secte infâme croit que l’éclipse de l’Église est un prélude à sa fin. Un «petit reste» demeure, composé de fervents catholiques, tout comme la Mère de Dieu, Saint Jean et Marie-Madeleine sont restées au pied de la Croix.
Nous savons que la destinée du monde n’est pas entre les mains des hommes et que le Seigneur a promis qu’il n’abandonnera pas son Église: «les portes de l’enfer ne prévaudront pas» (Mt 16, 18). Les paroles du Christ sont le roc de notre espérance: «Voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde» (Mt 28, 20).
[2] https://formiche.net/2016/10/clinton-podesta-papa-francesco/
L’entretien entre Mgr Vigano et le vaticaniste et journaliste Marco Tosatti du blog Stilum Curiae, -dont MPI s’est fait l’écho à travers plusieurs articles-, porte essentiellement sur les principes qui doivent régir l’homme politique catholique et son action politique. En tant qu’ancien nonce des Etats-Unis, et soutien du président Donald Trump à sa réélection à la Maison Blanche, l’évêque Mgr Vigano analyse, dans une dernière partie traduite ci-dessous, ces futures élections présidentielles, les candidats en lice, les forces en présence et les enjeux politiques, économiques, religieux et spirituels. Et à nouveau, Mgr Vigano voit dans le concile Vatican II, et la hiérarchie qui en est issue, une des causes de « la perte de foi dramatique » aux Etats-Unis.
« Macro Tossati : Joe Biden a choisi Kamala Harris comme vice-présidente, qui a défendu à son poste de magistrat californien, la plus grande société d’avortement au monde, Planned Parenthood, lorsque cette dernière a été accusée de commercialiser des parties de fœtus avortés. Quelle est la signification de ce choix ?
Mgr Vigano : La culture de la mort qui sous-tend l’idéologie anti-chrétienne qui prévaut aujourd’hui est cohérente avec elle-même : le meurtre de créatures innocentes est l’un des points essentiels de ceux qui veulent effacer non seulement le christianisme, mais l’humanité et la création, dans lesquels l’œuvre du divin Créateur est montrée.
Comme je l’ai dit à plusieurs reprises, ce processus de dissolution se fait à deux niveaux : un idéologique, par ceux qui veulent délibérément le mal et ont l’intention de mettre en œuvre leur propre plan infernal par étapes forcées; un économique, de la part de ceux qui soutiennent l’idéologie pas nécessairement par conviction, mais pour le profit. Ainsi, les sacrifices humains qui même pendant l’urgence de Covid ont continué à être célébrés dans les cliniques d’avortement apportent des bénéfices à Planned Parenthood et à toute la chaîne de la mort qui commercialise les organes des bébés avortés. N’oublions pas que le lobby de l’avortement – à l’instar du mouvement LGBT – fait partie des principaux financiers des campagnes électorales de gauche dans le monde. Si des entreprises idéologiquement orientées en faveur de la culture de la mort financent massivement certains partis politiques, il n’est pas étonnant que les candidats de ces partis soutiennent à leur tour leurs sponsors avec des lois qui les favorisent.
Macro Tossati : Un évêque américain, Mgr. Thomas Tobin a déclaré que pour la première fois, les démocrates ne présentaient pas de candidats catholiques. Le père James Martin, s.j., a répondu que Biden a été baptisé catholique et qu’il l’est donc. Que nous fait comprendre cetet réponse de l’état de l’Église américaine ?
Mgr Vigano : J’ai déjà dit plus haut que par ‘candidatures catholiques’ nous entendons les candidatures d’hommes politiques qui non seulement se disent catholiques, mais qui sont également cohérents avec la foi et la morale enseignées par l’Église. Si être catholique n’avait pas d’impact concret, cela n’aurait aucun sens de voter pour un candidat qui en fait ne diffère pas des autres. La réponse du père Martin, s.j., est un sophisme, car il prétend ne pas voir l’écart entre paraître et être catholique, entre exploiter la ‘dénomination’ à des fins électorales et être véritablement témoins de l’Évangile dans la vie privée, dans la vie civile et politique, et dans les institutions. Que dire du père James Martin ? Baptisé, confirmé, ordonné prêtre, il a même fait des vœux solennels de chasteté et d’obéissance, il appartient à la Compagnie de Jésus… il est LGBT. Un autre, l’un des Douze, l’a trahi. Le père Martin, toujours impeccable dans son clergyman, se regarde dans le miroir de son âme et qu’il voit à qui il ressemble !
Macro Tossati : Pourquoi, Excellence, l’Église regarde-t-elle avec un tel intérêt l’idéologie dominante, qui est pourtant si clairement anti-chrétienne?
Mgr Vigano : C’est un problème que nous portons depuis soixante-dix ans. Le clergé catholique, et en particulier la Hiérarchie, souffrent depuis lors d’un sentiment d’infériorité qui les place au-dessous de leurs interlocuteurs dans le monde. Ils se sentent ontologiquement inférieurs. Ils considèrent que l’enseignement du Christ est insuffisant, et alors ils essaient maladroitement de l’adapter à la mentalité séculière. Ils ont peur de paraître dépassés, pas dans l’air du temps, voire des siècles de retard, comme le disait un autre illustre jésuite (R.I.P.) …
Ce complexe très grave est la conséquence directe d’une perte de foi dramatique. Le message salvifique du Christ est inconciliable avec les séductions du monde; il est indigne et illégitime de falsifier le Magistère pour plaire au monde, en abusant d’une autorité sacrée qui vise plutôt à prêcher à « toutes les nations, en les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, en leur apprenant à tout observer ce que je vous ai commandé » (Mt 28, 19-20).
Tant que les dirigeants de l’Église persisteront à ne pas se comporter de manière cohérente avec leur rôle et avec l’enseignement du Christ, il sera impossible de demander une telle cohérence aux laïcs, qui prennent exemple sur les premiers. La confirmation vient précisément du fait qu’il existe des politiciens autoproclamés ‘catholiques’ qui bénéficient aujourd’hui du soutien de clercs et d’évêques autoproclamés ‘catholiques’. Et que ceux qui, bien que n’étant pas catholiques, défendent la vie et la loi de la nature, se retrouvent accusés de populisme, même comparés aux dictateurs du siècle dernier[9], et même pas chrétiens[10]. Ou comme dans le cas du père James Altman, récemment accusé par son évêque d’être ‘un facteur de division et de scandale’.[11]
Macro Tossati : Quel est le rôle de Planned Parenthood dans la politique américaine ? Est-ce un instrument de liberté et d’affirmation des droits, comme le prétendent les ‘progressistes’, ou…
Mgr Vigano : Planned Parenthood joue, dans la société mondialiste, le rôle opposé et contraire de celui que les institutions caritatives et les fondations pour la protection de la vie avaient dans les nations chrétiennes. Dans la société chrétienne, les enfants étaient accueillis avec amour et même dans des situations de pauvreté et de difficulté, ils étaient aidés, élevés et éduqués pour devenir de bons chrétiens et des citoyens honnêtes, traduisant la parole de l’Évangile en pratique. Dans la société anti-chrétienne, Planned Parenthood se charge de tuer ces innocents, traduisant en pratique la culture de la mort inspirée par celui qui était ‘un meurtrier depuis le début’ (Jn 8, 44). N’oublions pas que Planned Parenthood avec d’autres multinationales de l’avortement, sont avantageuses pour le délire malthusien du dôme mondialiste qui prévoit une réduction drastique de la population mondiale.
Macro Tossati : Soros et d’autres essaient de faire pression sur Zuckerberg pour que Facebook limite la présence et l’activité des pro-vie. Les choix de Biden et Kamala Harris, et ces manœuvres de censure envers ceux qui défendent la vie, à quel genre de scénario mondial mènent-ils?
Mgr Vigano : L’Évangile s’est répandu dans le monde entier grâce à la prédication des apôtres et au témoignage des martyrs et confesseurs de la foi. De même, l’anti-évangile de la Synagogue de Satan se répand grâce à la prédication des enfants des ténèbres, au témoignage de personnalités publiques, de gens de spectacle, de philanthropes autoproclamés. Au final, la division en deux camps revient toujours : d’un côté le bien et de l’autre le mal, dans la guerre biblique entre le bien et le mal. Et si un temps nos saints détruisirent des idoles et des temples païens pour ne laisser aucune place aux adorateurs du diable, il est aujourd’hui inévitable que les adeptes de la pensée unique s’unissent pour profaner et détruire les églises, démolir les croix et les statues des saints, effacez tout souvenir de la foi au Christ. Hier, il y avait la censure des livres interdits, pour protéger les simples qui auraient été empoisonnés dans l’âme; il y a aujourd’hui une censure du bien, parce que le mal ne le tolère pas.
Le scénario du monde qui se dessine est devant nos yeux : tant que nous ne comprenons pas qu’il ne peut y avoir de dialogue avec les ouvriers d’iniquité (Mt 7, 22), qu’il n’y a pas de compatibilité entre la lumière du Christ et les ténèbres de Satan, nous ne serons pas capables de gagner la bataille parce que nous n’aurons même pas reconnu que nous sommes en guerre contre les puissances infernales. Et dans une guerre, il y a forcément deux côtés opposés : celui qui refuse de servir sous la bannière du Christ finit inévitablement par aider les serviteurs du Malin. Cette prise de conscience est claire chez nos ennemis, mais elle ne semble pas aussi claire chez ceux qui ne considèrent pas la vie chrétienne comme une ‘milice’.
Permettez-moi de rappeler les propos du président Trump à la fin de la récente Convention : « Nos opposants vous disent que votre rédemption ne peut venir que du pouvoir que vous leur donnerez. » Cette ‘rédemption’ consiste à nier les droits souverains de Dieu sur les individus, sur les sociétés, sur les nations, remplaçant le doux joug du Christ par la tyrannie haineuse de Satan. Et c’est, en effet, un renversement de la Rédemption – c’est-à-dire de la rédemption de l’esclave – que le Sauveur a accomplie sur le bois de la Croix. Ne nous laissons donc pas tromper par les paroles mélodieuses de ceux qui usurpent la métaphore biblique des enfants de la lumière et des enfants des ténèbres, pour établir le royaume de Lucifer : l’obscurité et le chaos que nous voyons dans les villes américaines sont le fruit de la même idéologie qui approuve l’avortement post-natal et le mariage homosexuel, ainsi que les sponsors du BLM et des mouvements Antifa sont précisément les fondations démocrates et ‘philanthropiques’ qui s’opposent furieusement à la réélection de Trump.[12]
( …)
Aujourd’hui, la puissance salvifique du Christ est remplacée par la ‘voix de la création nous exhortant à retourner à notre place légitime dans l’ordre naturel créé’. La Passion rédemptrice de Notre Seigneur est remplacée par le ‘gémissement de la création’, et les fléaux de la Justice divine par la ‘colère de la Terre Mère’, de la pachamama …
Le président Trump a déclaré : « Nos adversaires vous disent que votre rédemption ne peut venir que du pouvoir que vous leur donnerez. Dans ce pays, nous ne nous tournons pas vers les politiciens pour obtenir le salut, nous ne comptons pas sur le gouvernement pour sauver nos âmes, mais nous plaçons notre foi en Dieu tout-puissant. » Je crois que cette confiance en Dieu, qui doit évidemment correspondre à une cohérence de vie et de témoignage chrétien, confirmera également dans cette circonstance de l’élection présidentielle que ‘la main droite du Seigneur a fait des merveilles’, comme le rappelle le Psaume 117. » (Traduction de F. de Villasmundo)
Francesca de Villasmundo
[9]https://www.adnkronos.com/fatti/cronaca/2020/09/08/papa-populismo-europa-ricorda-terribili-degenerazioni-passate_QIC4RJ8Dyn07BJD6d82JBI.html?refresh_ce
[10]https://www.toscanaoggi.it/Documenti/Papa-Francesco/La-conferenza-stampa-del-Papa-sul-volo-di-ritorno-dal-Messico
[11]https://quincy-network.s3.ca-central-1.amazonaws.com/wp-content/uploads/sites/10/2020/09/Statement-Father-James-Altman-090920.pdf
https://www.lifesitenews.com/news/watch-priest-warns-us-voters-you-cannot-be-catholic-and-be-a-democrat
]]>“Voulez-vous des villes sûres? Voici ce que la Sainte Bible nous en dit:“Un roi imprudent sera la ruine de son peuple, mais les villes demeureront peuplées par la prudence des gouvernants.” Ecclésiaste 10:3 (ne se trouve pas dans les Bibles protestantes)Voilà qui nous rappelle la situation des Etats-Unis en 2020. Nous ferions bien de nous repentir, pour ne pas connaître l’enfer sur terre promis aux nations qui tournent le dos à Dieu.”
« Nous avons péché contre la terre », a déclaré le pape François lors de l’audience générale du 22 avril 2020. Depuis la bibliothèque du Palais apostolique du Vatican, le jésuite argentin a renouvelé son appel à découvrir « une nouvelle façon de voir notre maison commune » à l’occasion de la 50e Journée internationale de la terre nourricière.
Quand ce ne sont pas les migrants et l’accueil, l’autre mission primordiale pour le monde dont se sent investi l’actuel pontife, plus agent d’influence des lobbies écologistes et de la pensée verte que Vicaire de Notre-Seigneur Jésus-Christ, est d’œuvrer à une très naturaliste « conversion écologique ».
Se référant, comme à son accoutumée, à Laudato si’ (2015) et Querida Amazonia (2020), ses propres exhortations apostoliques, comme si avant lui c’était le néant, il a réitéré son appel à une « conversion écologique » à l’occasion de ce Jour de la Terre. Il a souligné que la crise sanitaire enseignait combien les grands défis mondiaux ne peuvent être relevés qu’en étant solidaires et soucieux des plus vulnérables. « Nous avons besoin d’une nouvelle façon de voir notre maison commune », a affirmé le pape argentin :
« Nous avons péché contre la terre, contre nos voisins, et finalement contre le Créateur, le Père bienveillant qui pourvoit aux besoins de tous. »
Surfant sur cette vague émeraude bergoglienne, les médias du Vatican, Vatican News notamment, et Tv2000 de la Conférence Épiscopale italienne, ont pareillement acclamé, ovationné, porté aux nues, cette journée aux relents panthéistes et eugénistes.
Sur un quotidien italien, La Nuova Bussola Quotidiana, est sortie une analyse pertinente sur « le lien définitif » qui unit cette « pensée écologique (…) trait particulier de ce pontificat » et les « forces derrière le Jour de la Terre héritières des sociétés eugénétistes ».
En voici quelques extraits significatifs :
« Ce qui s’est passé hier, écrit le journaliste Riccardo Cascioli, c’est la fusion définitive de la pensée et de l’action entre le Saint-Siège et les lobbies écologiques du monde. »
Et de donner des exemples de ce lien :
« Mercredi, le pape François a consacré son audience au Jour de la Terre, interrompant pour l’occasion le cycle de catéchèse qu’il mène. Si la définition sans précédent et controversée des ‘péchés contre la terre’ a fait la une des journaux, l’horizon religieux qu’il a proposé est encore plus significatif, se référant, quoique sans la mentionner, à l’hypothèse Gaïa (la déesse grecque de la Terre) : c’est-à-dire l’idée de la terre comme étant un organisme vivant qui réagit aux agressions, ou plutôt se venge.
« Une raison de tant d’attention de la part du pape et des médias du Vatican était également le fait que le Jour de la Terre était consacré à l’encyclique Laudato Si’, dont c’est le cinquième anniversaire. Et c’est ici que la question devient intéressante, car elle achève le processus d’intégration entre un certain catho-écologisme, [qu’à MPI nous nommerons plutôt concilio-écologisme car ce n’est qu’une dérive de plus née du concept conciliaire soutenant que la doctrine n’est pas immuable mais évolue constamment, ndlr] promu par le Pape lui-même, et les mouvements derrière le Jour de la Terre. »
L’auteur de l’article, pour mieux appuyer son propos, retrace la genèse de ce Jour de la terre, une genèse qui relie cette journée mondiale aux lobbies eugénistes :
« Il est intéressant de savoir comment est né le Jour de la Terre et ce qu’il est réellement. Vatican News le définit comme un mouvement né d’en bas qui, au lendemain d’un accident pétrolier en mer, a décidé de réunir toutes les forces qui protestaient déjà contre la dégradation de l’environnement. La première grande manifestation de défense de l’environnement s’est donc tenue le 22 avril 1970 avec la participation de 20 millions d’Américains. Un mouvement spontané, né ‘d’en bas’, que le Pape voudrait (il l’a dit hier) voir se poursuivre aujourd’hui dans le monde entier.
« Dommage que les choses ne se soient pas passée ainsi. S’il est vrai qu’aux États-Unis plusieurs mouvements écologistes étaient déjà très actifs, réagissant surtout à la forte pollution atmosphérique des grandes villes américaines, leur convergence dans un moment politique de fort impact était une opération ‘d’en haut’, qui avait surtout deux protagonistes : le sénateur (démocrate) du Wisconsin Gaylord Nelson et le milliardaire Hugh Moore. Le premier était un environnementaliste convaincu, une sorte d’ancêtre d’Al Gore, l’autre toujours engagé à orienter la politique américaine vers le contrôle des naissances.
« Ce fut d’ailleurs Hugh Moore qui dès les années 50 à inventer l’image de la ‘bombe démographique’, qui est ensuite devenue universellement célèbre grâce au livre que le biologiste Paul Ehrlich écrivit en 1968. Et c’est toujours Hugh Moore qui inventa le slogan qui donnera la perspective définitive du Jour de la Terre : ‘La population polluante’. De cette façon, le mouvement écologique et le mouvement de contrôle des naissances (pour une histoire plus répandue sur l’origine du Jour de la Terrecliquez ici ) ont été soudés ensemble, tous deux héritiers des Sociétés Eugénistes nées aux États-Unis à la fin du XIXe siècle. Depuis, les mouvements anti-natalistes et écologistes – du Sierra Club au Worldwatch Institute, de Planned Parenthood à Zero Population Growth – parlent le même langage, et ce sont évidemment des mouvements qui se sont développés grâce aux généreux financements des grandes fondations américaines.
« Au cours de ces 50 années, les forces derrière le Jour de la Terre non seulement n’ont pas édulcoré leur identité mais se sont considérablement développées en occupant des postes clés dans de nombreux gouvernements – à commencer par les États-Unis – et ont pris le contrôle des agences des Nations Unies, assumant une dimension mondiale.
« Et ces dernières années, malheureusement, ils ont occupé le Vatican,comme nous l’avons dénoncé à plusieurs reprises. Quand ils parlent de protection de l’environnement, ces personnages n’ont pas à l’esprit le soin de la création d’un point de vue chrétien; au lieu de cela, ils ont l’idée que l’homme est le véritable ennemi de la terre et donc sa présence doit être limitée : à la fois quantitativement (contrôle des naissances, en particulier dans les pays pauvres) et qualitativement (frein à la croissance économique jusqu’à la théorisation de la soi-disant ‘décroissance heureuse’). Ce sont également les piliers des politiques environnementales mondiales élaborées depuis les années 90 du siècle dernier et qui constituent également la toile de fond culturelle des accords internationaux sur le changement climatique.
« Donc, si le premier Jour de la Terre a marqué la souduredes différents courants eugénistes, la50e Journée de la Terre, avec la célébration de l’encyclique Laudato Si’ et la participation enthousiaste du Vatican, marque une autre soudure historique : celle entre ce mouvement mondial et le Saint-Siège… »
« Autrement dit, nous assistons à la remise de l’Église au pouvoir mondial » conclut le journaliste italien, proche des milieux conservateurs de l’Église conciliaire.
Sur ce point, nous le contredirons : cette occupation de l’Église par le pouvoir mondial ne date pas du pontificat de François mais remonte au concile Vatican II. En ouvrant les portes au monde séculier et aux mœurs contemporaines, à des théologiens et penseurs ennemis de la Tradition de l’Église catholique tout en étant alliés du pouvoir mondial par leur soumission intellectuelle à la conscience morale universelle née de l’après-guerre et dictant depuis au monde, et au monde catholique, le Bien et le Mal à la place de la loi divine naturelle, il a ouvert la voie durant ces 50 dernières années à de magistrales erreurs non seulement doctrinales, liturgiques, et disciplinaires mais aussi sociétales, selon le mot à la mode, dont cet écologisme bergoglien n’est que la dernière en date.
L’évêque de la Tradition, Mgr Lefebvre, disait déjà en juin 1978 :
« Je crois sincèrement que nous avons affaire à une contrefaçon de l’Église et non pas à l’Église catholique. Pourquoi ? Parce-ce qu’ils n’enseignent plus la foi catholique. Ils ne défendent plus la foi catholique. Non seulement ils n’enseignent plus la foi catholique et ne défendent plus la foi catholique, mais ils enseignent autre chose, ils entraînent l’Église dans autre chose que l’Église catholique. Ce n’est plus l’Église catholique. Ils sont assis sur le siège de leurs prédécesseurs, tous ces cardinaux qui sont dans les congrégations et tous ces secrétaires qui sont dans ces congrégations ou à la secrétairerie d’État ; ils sont bien assis là où étaient leurs prédécesseurs, mais ils ne continuent pas leurs prédécesseurs. Ils n’ont plus la même foi, ni la même doctrine, ni la même morale même que leurs prédécesseurs. Alors ce n’est plus possible. »
Plus loin dans la même conférence :
« Je pense que l’on peut, que l’on doit même croire que l’Église est occupée. Elle est occupée par cette Contre-Église. Par cette Contre-Église que nous connaissons bien et que les papes connaissent parfaitement et que les papes ont condamnée tout au long des siècles. Depuis maintenant bientôt quatre siècles, l’Église ne cesse de condamner cette Contre-Église qui est née avec le protestantisme surtout, qui s’est développée avec le protestantisme, et qui est à l’origine de toutes les erreurs modernes qui a détruit toute la philosophie et qui nous a entraînés dans toutes ces erreurs que nous connaissons et que les papes ont condamnées : libéralisme, socialisme, communisme, modernisme, sillonisme et que sais-je ? Et nous en mourons. Les papes ont tout fait pour condamner cela. Et voilà que maintenant ceux qui sont sur les sièges de ceux qui ont condamné ces choses-là sont maintenant d’accord pratiquement avec ce libéralisme et avec cet œcuménisme. Alors nous ne pouvons pas accepter cela.
« Et plus les choses s’éclairent, et plus nous nous apercevons que ce programme qui a été élaboré dans les loges maçonniques – tout ce programme, toutes ces erreurs ont été élaborées dans les loges maçonniques – et bien on s’aperçoit tout doucement et avec des précisions de plus en plus grandes qu’il y a tout simplement une loge maçonnique au Vatican. »
Sous ce pontificat bergoglien, les tenants du « modernisme, du libéralisme, du communisme », progressistes toujours en chemin vers un utopique bonheur humain parfait, d’avant la chute, niant la chute, une seule fraternité humaine originelle et un seul village global, ont tout simplement changé leur veste et endossé les oripeaux de l’écologisme malthusien et eugéniste, mais c’est la même Contre-Eglise qui est aux commandes pour pousser à cet « écologisme anti-humain » dénoncé résolument et fort justement par La Nuova Bussola Quotidiana.
Francesca de Villasmundo
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Planned Parenthood est l’officine mondiale qui réalise le plus d’avortements au monde et se vante d’avoir réalisé 350.000 avortements en Amérique l’an dernier. Il s’est moqué des défenseurs de la Vie qui priaient dans la rue pour que s’éloigne la pandémie du coronavirus et ont lancé 40 jours de prières. Ils développeraient la peur que les populations éprouvent face au virus et en font des malades imaginaires.
Le communiqué de Parenthood paraissait le jour même où il est annoncé que la maladie va ravager l’Afrique. Pire, cette organisation meurtrière voit dans l’avortement une solution à la maladie et se lamente du fait que leur nombre va diminuer en raison de la quarantaine imposée par le gouvernement.
Par-là, elle fait fi des mises en garde de l’Organisation mondiale de la santé et du Centre de surveillance des maladies en Amérique.
Des voix s’élèvent pour que Planned Parenthood soit traîné en justice et condamné, arguant que cette prise de position était intolérable notamment pour tous ceux qui étaient malades.
Dans les rues des gens, portent des affiches sur lesquelles sont inscrits ces simples mots : Pray to end abortion. Priez pour que se termine l’avortement. Ces personnes pensent avec justesse que les manipulations liées à cet acte contribuent inutilement à la diffusion de la maladie.
Jean-Pierre Dickès
]]>L’actrice Michelle Williams a laissé entendre lors de son discours à la remise des Golden Globes qu’elle n’aurait pas pu gagner son prix si elle n’avait pas avorté son bébé des années auparavant.
Eden Linton, responsable de la jeunesse et de l’éducation de la SPUC, a réagi : «Bienvenue en 2020, où un trophée a plus de valeur que la vie humaine et les femmes doivent tuer leurs enfants pour réaliser leurs rêves.»
La cérémonie de remise des prix du cinéma américain a vu Michelle Williams recevoir un prix pour son rôle dans la série télévisée Fosse / Verdon.
Après avoir reçu son prix, l’actrice a utilisé son discours pour promouvoir un programme pro-avortement, où elle a laissé entendre au public que l’avortement de son bébé lui avait permis de réussir.
Saisissant son prix, Michelle Williams a déclaré: « Je n’aurais pas été en mesure de le faire sans exercer le droit d’une femme de choisir, de choisir quand avoir mes enfants et avec qui. »
Le discours de l’actrice a été accueilli par les applaudissements des stars d’Hollywood et a rapidement été diffusé sur les réseaux sociaux par le géant de l’avortement Planned Parenthood.
Mlle Linton a dénoncé cette attitude : «Mme Williams a envoyé le message aux jeunes filles impressionnables du monde entier que leurs rêves et leurs ambitions ne peuvent se réaliser sans avortement et que les femmes doivent sacrifier leurs enfants pour réussir.
«En 2020, aucune femme ne devrait avoir à sacrifier son enfant pour réaliser ses rêves. Le message de Mme William dégrade les femmes et leurs capacités. Dans une société où les célébrités sont si glorifiées, il est extrêmement préoccupant de voir des déclarations comme celles-ci émaner d’événements de grande envergure avec la capacité d’influencer les autres. »
Hollywood pro-avortement
Le discours de Michelle Williams n’est pas le premier tenu par des célébrités hollywoodiennes utilisant leur notoriété pour promouvoir une idéologie pro-avortement.
En 2019, un groupe de plus de 40 célébrités hollywoodiennes a exprimé son indignation collective face à la perspective de protections légales dans l’État de Géorgie, qui protégeraient les enfants à naître de l’avortement. Les célébrités, qui comprenaient Ben Stiller, Amy Schumer et Alec Baldwin, ont écrit une lettre au gouverneur de Géorgie, menaçant de boycotter l’État si des protections juridiques pour les enfants à naître étaient introduites, et ont qualifié les garanties de «mal».
Les géants du divertissement Netflix et Disney, qui vendent souvent leur programme pour un public de très jeunes enfants, ont protesté contre la perspective de protéger les enfants à naître de l’avortement. Les deux sociétés ont menacé de boycotter l’État de Géorgie si des protections légales étaient accordées aux enfants à naître.
C’est aussi ça Hollywood.
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Le décret de la Cour Suprême appelé Roe versus Wade (1973) oblige tous les États Américains à avoir au moins une clinique pour faire les avortements. On a su ensuite que Mme Roe qui était la plaignante n’avait jamais avorté, mais qu’elle avait été manipulée par un groupe d’avocats particulièrement retors.
Or plusieurs États n’étaient pas demandeurs et d’autres franchement opposés à l’avortement. Ceux-ci ont utilisé toutes sortes de subterfuges pour essayer de limiter les avortements. C’est ainsi que 400 lois ont été votées par différents États pour contourner Roe/vs Wade. L’une d’entre elles consistait à obliger les praticiens à montrer l’enfant in utero par l’échographie. Donc plusieurs États s’orientèrent dans cette direction sur le plan législatif. Il est évident que les femmes voyant un petit être dont le cœur battait, qui avait une tête et des membres qui bougeaient, se posaient des questions. Elles se disaient que contrairement à la propagande pro-avortement, l’enfant dans le sein maternel n’était pas qu’un amas de cellules.
De nombreux procès commencèrent, diligentés en général par Parenthood ou par des propriétaires de cliniques d’avortement. Ils aboutirent tous à la Cour Suprême. Ces États avaient-il le droit d‘obliger les femmes enceintes à faire une échographie de grossesse ? La Cour vient de rendre son jugement. Il n’y a aucune raison de refuser qu’ils ne puissent voter une loi obligeant les femmes enceintes à faire une échographie. Rien d’extraordinaire : en France depuis 25 ans trois échographies sont obligatoires au titre de la surveillance normale de la grossesse.
Nous tirerons deux leçons de cette affaire qui est une colossale victoire pro-vie.
La première est que la vue de leur enfant va dissuader des milliers de femmes d’« interrompre » leur grossesse. Notons que ce terme d’ « interrompre » est impropre. Si les grévistes interrompent leur grève, cela signifie que le travail va reprendre un jour. Avec l’avortement, la grossesse ne reprend jamais.
La deuxième conséquence est aussi très importante. Trump a réussi avec peine à faire nommer à la Cour Suprême deux juges supplémentaires (sur 9) théoriquement opposés à l’avortement. C’est la preuve que la majorité de les membres de cette instance est pro-vie ; comme d’ailleurs la majorité des Américains. (ACLJ, 23/12/2019).
]]>Aux États-Unis comme ailleurs la justice est dominée par des magistrats progressistes. A San Francisco le jury d’un tribunal a condamné David Daleiden, Sandra Merritt et d’autres militants pro-vie liés au Center for Medical Progress (Cmp) à une super-amende de 2,2 millions de dollars à verser au colosse de l’avortement en Amérique, Planned Parenthood. Leur délit : avoir montré via des vidéos réalisées en camera cachée les pratiques « commerciales » de l’organisation pro-avortement. Ces films montraient certains de ses responsables, discuter entre le fromage et le dessert, des prix des organes et des tissus des enfants avortés ainsi que d’autres pratiques illégales comme l’avortement juste à la naissance qui comporte l’aspiration du cerveau de l’enfant et est exécuté afin d’extraire le plus possible d’organes intacts vendus ensuite à des organismes de « recherches ». « Nous sommes devenus très forts pour obtenir le cœur, le foie, le poumon […] donc moi je n’irai pas écraser cette partie, fondamentalement j’écraserai au-dessus, j’écraserai en-dessous, et j’irai voir se je réussis à obtenir tout intact » disait par exemple le docteur et dirigeante de Planned Parenthood, Deborah Nucatola.
L’émergence de ce scandale avait entraîné une enquête du Congrès conclue avec un rapport de 471 pages contenant diverses accusations contre Planned Parenthood. Aujourd’hui le Département de la Justice mène une investigation sur ce marché des horreurs.
Mais nonobstant la gravité des délits et crimes commis par la puissante organisation spécialisée dans l’avortement à grande échelle, ce sont les lanceurs d’alerte, traînés devant la justice par Planned Parenthood, qui viennent d’être condamnés. Il faut admettre que le procès était vicié depuis le début. La cour était présidée par le juge William Orrick III qui a des liens connus avec Planned Parenthood. Il a rejeté la demande de récusation de la part de la défense, empêcher des experts clés de témoigner et interdit que certaines vidéos soient montrées au jury. Il a pareillement influencé le jury en l’invitant à se concentrer seulement sur les dommages subis par Planned Parenthood à cause de l’action des prévenus.
Peter Breen, l’avocat de David Daleiden and Co, a annoncé que ses clients feront appel de cette décision du moment que « leur enquête sur l’activité criminelle de la part d’un des plus grands fournisseurs d’avortements aux Etats-Unis a utilisé des techniques standards du journalisme d’investigation, celles utilisées régulièrement par les médias dans tout le pays », techniques sans lesquelles les pratiques criminelles montrées dans les vidéos n’auraient jamais été connues.
Mais c’est bien là le reproche implicite qui leur est fait : avoir porté à la lumière les agissements occultes de cette si puissante organisation de l’avortement « sans but lucratif » (sic) ! Il est des trafics d’êtres humains dont la conscience morale universelle ne veut pas entendre parler…
Francesca de Villasmundo
]]>° Le président des Etats-Unis a à sa disposition un budget appelé Tittle X. Il le répartit à des œuvres humanitaires. Planned Parenthood (330.000 avortements annuels) recevait ainsi 60 millions de dollars soit un cinquième du Tittle X ! Trump a décidé de supprimer cette subvention. C’est « la règle de la protection de la vie ». Parenthood, cette œuvre planétaire d’avortement a décidé de plaider contre Trump. Mais elle a été déboutée par la justice début juillet. C’est ainsi que 40 % du « service » d’avortements de PP ne peut plus être assuré et notamment cette organisation sera probablement obligée de tailler dans nombre d’autres prestations comme la contraception ou la stérilisation… et réduire le nombre d’avortements. L’argent ira finalement aux cliniques respectant la vie. (Lifenews.com, 19 juillet 2019)
° Notez que le 15 juillet, Trump a supprimé les subventions à l’United Nations population control agency (UNFPA). Cet organisme onusien fait une promotion mondiale de l’avortement (Lifenews, 17/07/2019).
° Autre nouvelle très intéressante. La nouvelle présidente de Parenthood, LeanaWen, est fortement critiquée dans son mouvement car elle refuse de dire que les hommes peuvent être « enceints ». Elle refuse d’utiliser le terme de « tranclusif » (écriture inclusive) et ne pousse pas assez la politique d’avortement. De plus elle veut orienter le mouvement vers les soins de santé au détriment de l’avortement (Lifenews, 17/07/2009).
° Enfin il ne faut pas oublier la fin des ventes de fœtus. Le gouvernement de Trump vient d’interdire les contrats commerciaux afférents à la vente de morceaux de fœtus avortés. Le prétexte en est les tentatives de créer des souris humaines. Cela aboutit d’abord à l’arrêt des subventions pour la recherche à partir de morceaux de fœtus. Voilà qui va amputer largement le budget de Parenthood qui s’était spécialisé dans ce type d’achats. Il y en a pour deux millions de dollars (ACLJ, 07/06/2019, Lifenews.com, 05/06/2019).
Après tout cela on comprend que les médias français n’aiment pas Trump. Leurs mensonges surtout par omission font que seulement 24 % des Français leur font confiance.
Jean-Pierre Dickès
]]>Voici, pour nos lecteurs du Québec, la liste des cinémas qui vont projeter Unplanned (l’excellent film qui dénonce l’avortement et les méfaits de Planned Parenthood) à partir du vendredi 12 juillet.
Canada – Deux propriétaires de cinémas indépendants ayant mis à leur programme la projection du film pro-Vie Unplanned ont reçu des menaces de mort de la part de militants pro-avortement [pseudo pro-choix !].
Rappelons que le film Unplanned raconte la conversion d’Abby Johnson qui devant la réalité de l’avortement, passe de directrice d’un avortoir de Planned Parenthood à directrice d’un mouvement pro-vie.
Le site LifeSiteNews signale : « La police enquête sur les menaces de mort transmises à deux propriétaires de cinémas indépendants canadiens parce qu’ils projetaient de passer dans leurs salles le film provie Unplanned le 12 juillet, a appris LifeSiteNews. Des mesures de sécurité : Par mesure de sécurité, les producteurs du film ont retiré de leur site Web la liste complète des 46 cinémas canadiens — indépendants, Cineplex et Landmark — où sera montré le film le 12 juillet, a affirmé M. Konzelman [l’un des producteurs du film] à LifeSiteNews. »
]]>Canada – Le film américain Unplanned, très efficace pour dégoûter les jeunes femmes de l’avortement, doit bientôt sortir dans les salles canadiennes. Le film sera projeté dans plus de 24 cinémas à partir du 12 juillet. Mais l’hostilité des partisans de la culture de mort est telle que le distributeur se prépare à d’éventuelles manifestations.
Ashley Bratcher joue le rôle d’une directrice d’un avortoir de Planned Parenthood au Texas, qui devient oratrice antiavortement après avoir vu « quelque chose qui a tout changé » pour elle. Le film Unplanned est basé sur un mémoire du même nom rédigé par la militante antiavortement Abby Johnson.
Aux États-Unis, les salles qui ont accepté de projeter le film ont fait salle comble.
Qu’en sera-t-il au Canada ? Certains freins sont placés pour limiter l’impact auprès du public cible. En Alberta, par exemple, le film Unplanned est classé « 14A » avec un avertissement de « contenu dérangeant » [sic… comme si l’avortement en soi n’était pas « dérangeant » !]. En Colombie-Britannique, le film est classé « PG » (Surveillance parentale conseillée). Au Québec, Unplanned devrait être classé « R ». Ce qui signifie qu’au Québec les jeunes filles peuvent se faire avorter gratuitement dès 14 ans sans l’autorisation des parents… mais que les moins de 18 ans n’ont pas accès à ce film !
Il a dit avoir senti l’obligation de contacter les producteurs américains de Unplanned pour distribuer le film au Canada après avoir été « agacé » par la « désinformation » en ligne sur le fait que le drame avait été interdit de diffusion au Canada.
Malgré la censure de Twitter qui a suspendu le compte, malgré qu’il ait été classé pour adultes (alors que les jeunes adolescentes peuvent avorter), malgré une sortie dans uniquement 1059 salles américaines, Unplanned, –qui pourrait être traduit par « non planifié », – arrive à la 4e place des ventes du week-end dernier aux États-Unis.
Une victoire pour ce film du distributeur confessionnel Pure Flix. Dirigé par Chuck Konzelman et Cary Solomon, il parle du drame de l’avortement en racontant l’histoire d’Abby Johnson. Directrice à 29 ans d’une clinique de Planned Parenthood, ayant elle-même subi deux avortements, Abby Johnson se retrouve un jour confronter en direct à l’avortement d’une grossesse de 13 semaines avec des ultrasons. Traumatisée et choquée, elle démissionne en quelques jours et s’engage totalement dans la défense de la vie de l’enfant à naître.
« Nous sommes ravis, reconnaissants et touchés », ont déclaré les codirecteurs Cary Solomon et Chuck Konzelman.
« Nous sommes très heureux que le peuple américain ait réagi avec un tel soutien au box-office. Cela nous donne une leçon d’humilité et nous avons hâte de voir ce qui se passera dans les semaines à venir. »
« Le fait de présenter l’histoire d’Abby Johnson au public et de la voir présentée si abondamment, démontre à quel point l’avortement est un sujet important pour l’auditoire », ajoute Michael Scott, PDG de Pure Flix.
« Nous espérons que ceux qui sont des deux côtés du débat verront Unplanned et commenceront à avoir leurs propres discussions. Ce film peut être une étincelle pour amener plus de cœurs et d’esprits à comprendre la valeur de la vie. »
In theaters everywhere March 29. #Unplanned is the true story of one woman’s journey of transformation. Abby Johnson was one of the youngest Planned Parenthood clinic directors in the nation.Until the day she saw something that changed everything. https://t.co/FQ4aXWBgEh pic.twitter.com/iEClpfBLLP
— UnplannedMovie (@UnplannedMovie) 1 février 2019
Les grands distributeurs américains, Lifetime, Hallmark Channel, HGTV, parmi d’autres, ont boycotté le film en arguant que le message ne pouvait pas être diffusé en raison de son « sujet sensible ». Twitter a censuré le compte en empêchant les abonnés de le suivre. De nombreuses personnalités américaines ont d’ailleurs protesté auprès de Twitter. L’actrice Patricia Heaton a écrit au PDG de Twitter Jack Dorsey :
« Hey @jack – pourquoi vous ne me laissez pas suivre @UnplannedMovie ? J’ai essayé huit fois de soutenir mon ami @AbbyJohnson et @Twitter ne me laisse pas faire. D’autres ont le même problème. Veuillez corriger cela. Merci. »
Hey @jack – why aren’t you letting me follow @UnplannedMovie ? I’ve tried eight times to support my friend @AbbyJohnson and @Twitter won’t let me. Others are having the same issue. Please correct this. Thank you.
— Patricia Heaton (@PatriciaHeaton) 1 avril 2019
L’ambassadeur des États-Unis en Allemagne, Richard Grenell, a partagé une vidéo le montrant suivant le compte du film. Quelques secondes plus tard, son compte a automatiquement arrêté de l’afficher. « Que se passe-t-il @jack ? C’est scandaleux », a-t-il ajouté
Le fils du président Donald Trump, Donald Trump Jr, a partagé la vidéo de M. Grenell avec son propre commentaire :
« Encore un autre exemple des Maîtres des médias sociaux ne laissant pas les gens voir que ce qu’ils veulent qu’ils voient et croient. La censure et les préjugés doivent cesser !!!! »
Yet another example of the Social Media Masters only letting people see what they want them to see and believe.
The censorship and the bias must stop!!! https://t.co/QESRltiMJZ
— Donald Trump Jr. (@DonaldJTrumpJr) 1 avril 2019
La sortie de Unplanned en France est prévue prochainement. Pour une fois, un film à soutenir !
Francesca de Villasmundo
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Le Congrès américain est dominé de justesse par les démocrates qui s’opposent à la suppression des subventions à Planned Parenthood. Or il existe une rubrique appelée Title X qui dépend de la Présidence. À ce titre, Trump a fait supprimer toute subvention aux organismes qui pratiquent ou font la promotion de l’avortement.
Bien sûr est visé surtout Planned Parenthood, la plus grande association avorteuse au monde qui perd ainsi 44 millions de dollars par an ; ceci à partir du 1er avril de cette année. Cette somme représente le tiers des aides de l’État à cette agence de mort. Parenthood recevait habituellement environ 1,5 million de patientes par an grâce au Title X.
L’argent sera attribué en partie à Obria. Il s’agit d’un réseau de cliniques pro-vie dont certaines refusent même de prescrire la contraception. «Beaucoup de femmes veulent avoir la possibilité de se rendre dans un établissement de santé complet et professionnel, et non dans une clinique d’avortement, pour répondre à leurs besoins en matière de soins de santé. Cette subvention leur donnera ce choix » a déclaré Kathleen Eaton Bravo, fondatrice et PDG du groupe de soins de santé pro-vie.
Obria gère 21 cliniques de santé et 11 cliniques mobiles dans cinq États et ne pratique ni ne favorise l’avortement. La nouvelle règle intitulée «Protéger la vie» interdit aux entreprises de planification familiale et aux autres entreprises d’avortement de percevoir des subventions à moins qu’elles ne séparent complètement leurs activités d’avortement de leurs services financés par les contribuables.
L’administration Trump a également réduit de 100 millions de dollars la branche internationale de Planned Parenthood en 2017. Une majorité des Américains s’opposent au financement de l’avortement par les contribuables (54% contre 39%).
]]>Dans un premier temps, en 2017, lors de son arrivée au pouvoir, Donald Trump avait décidé de ne plus subventionner les ONG américaines faisant des avortements à l’étranger ou qui les soutenaient. Parenthood International était visé en premier lieu. Il rétablissait ainsi la « politique de Mexico » inaugurée par Reagan et reprise par Bush. Cela représente 9 milliards de dollars d’économie pour le budget des Etats-Unis, sauf bien sûr si ces organismes s’amendaient.
Selon Le Figaro du 26/03/2019 et les médias américains, le président élargit l’arrêt des subventions aux ONG étrangères qui elles-mêmes subventionnent l’avortement directement ou par des sociétés écran. Le département d’État américain refusera de collaborer avec toute organisation non gouvernementale (ONG) étrangère impliquée dans des avortements. C’est le cas par exemple pour l’Organisation des Etats Américains qui fait la promotion de l’avortement en Amérique latine et aux Caraïbes.
Trump est en position de force après la publication du rapport Müeller, reconnaissant après deux ans de « chasse aux sorcières » qu’il n’avait pas été en contact avec la Russie durant son élection. Il s’est même permis de déclarer que les médias étaient « l’ennemi du peuple ». Il a en effet collationné 600.000 articles de journaux qui l’accusaient à tort. Il a donc les mains libres pour contrer la culture de mort.
Le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) des États-Unis a un budget intitulé Title X. Trump a décidé de le couper en deux. La partie habituelle des soins et tout ce qui concerne l’avortement soit 60 millions de dollars pour ce poste. Or bien sûr, l’ensemble des centres de santé concernant ou non l’avortement ont des bureaux communs. La partie « avortement » devra travailler à part. Elle pourra rester dans les locaux à la condition qu’elle soit subventionnée par des fonds privés. Sinon elle dégage. L’argent correspondant sera affecté aux femmes en détresse qui sont nombreuses. Ce ne sera pas une « caisse noire » qui partira en douce vers des cliniques l’avortement. Une partie du texte est la suivante : « une séparation financière et physique claire entre les projets financés par le titre X et les programmes ou installations où l’avortement est une méthode de planification familiale ».
Certes les défenseurs de la vie se réjouissent de voir qu’une partie de leurs impôts ne va plus servir à tuer les enfants dans le sein maternel. Mais ils ne se font pas trop d’illusions dans la mesure où le budget de Parenthood (320.000 avortements l’an dernier) est huit fois plus élevé ; ceci bien que les capitaux extérieurs comme ceux de Soros ne peuvent plus rentrer dans le pays dans ce cadre. En revanche des groupes comme Google mettront la main à la poche.
Par ailleurs l’enquête du FBI sur la vente de morceaux d’enfants avortés ou tués à la naissance va enfin reprendre. Depuis trois ans et demi, elle était bloquée par le directeur par intérim puis sous-directeur du F.B.I, un procureur du nom de Mac Cabe (cela ne s’invente pas !). Il vient d’être limogé par Trump : la raison en est qu’il avait occulté certains conflits d’intérêt lors de la candidature d’Hillary Clinton à la présidence des Etats-Unis. Ce limogeage s’explique que par le fait qu’enfin le Président a repris en main le ministère de la Justice dont la plupart des membres avaient été nommés par Obama.
Jean-Pierre Dickès
]]>Après la promotion de l’avortement, voici venir le temps, pour Planned Parenthood, du changement de sexe ! L’un comme l’autre sont deux facettes de la culture de mort, expriment magistralement le rejet de la Vie et de la Création divine, manifestent la folie de l’homme moderne qui veut devenir dieu… et sombre dans le néant.
L’organisme international Planned Parenthood, qui gère des centres d’avortements se complaît dans le nihilisme pratique : il a décidé, outre de se dédier aux avortements, de se consacrer également au changement de sexe. Idéologiquement orientée « gender », cette activité est économiquement rentable… Et l’argent, on le sait, n’a pas d’odeur, pas même celle du sang, pour cette entreprise de mort, impliqué dans un immense scandale aux États-Unis pour avoir promu le business du trafic d’organes de bébés avortés.
Dans la seule petite ville de Sarasota en Floride, qui compte 57 mille habitants, en 2016 Planned Parenthood a prescrit une « thérapie » hormonale à quelques 250 personnes, y compris des mineurs. Ce traitement proposé par PP commence souvent sans même une visite chez un psycho-thérapeute : il suffit que le « patient » dise « vouloir changer de sexe ».
Business is business, money is money… et tant pis pour l’humaine nature !
Francesca de Villasmundo
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Aux Etats-Unis, Nancy Pelosi, élue des Démocrates, est devenue présidente de la Chambre des représentants et accroit sa notoriété en bloquant plusieurs projets du président Donald Trump, refusant notamment avec ses collègues députés démocrates d’accorder le budget nécessaire à la construction du mur destiné à stopper les immigrés illégaux le long de la frontière avec le Mexique.
Nancy Pelosi, soutenue par Barack Obama et par les Clinton, est très présente au sein de différentes organisations communautaires juives ainsi que du mouvement pro-avortement Planned Parenthood au centre de nombreux scandales depuis plusieurs années.
Nancy Pelosi peut aussi compter sur d’importants relais dans des télévisions et radios européennes. En effet, sa fille Alexandra Pelosi, est mariée à Michiel Vos, correspondant de presse auprès de nombreux médias audiovisuels européens.
Michiel Vos, qui a la binationalité américaine et néerlandaise, travaille en effet comme journaliste pour la VRT (chaîne de télévision belge) et Radio 1 (radio flamande de Belgique), pour de nombreuses émissions de télévisions et de radios des Pays-Bas et pour RTL Late Night.
Et, comme par hasard, dans ces différents médias, il a couvert d’éloges la nouvelle « Présidente de la Chambre », Nancy Pelosi, sans préciser qu’elle est sa belle-mère.
En Belgique, l’affaire fait un peu de bruit du côté flamand. L’ex-secrétaire d’Etat (NVA) Theo Francken demande sur Twitter si tout cela est bien déontologique. Joël De Ceulaer, journaliste au quotidien flamand de gauche De Morgen, pose exactement la même question sur Twitter.
Aux Pays-Bas, le public des émissions de NOS commence également à grincer des dents.
Mais, pour l’instant, Michiel Vos conserve l’appui des directions de ces différentes radios et télévisions, osant même déclarer que ses connexions ne seraient qu’un avantage exclusif permettant d’aborder des sujets auxquels d’autres journalistes n’ont pas accès !
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