L’Italie tremble et dresse des barricades : séismes et invasion migratoire sont devenus le quotidien des Italiens ! Si on ne peut rien faire contre les tremblements de terre, en revanche on peut combattre le Grand Remplacement. A Rome, dans le quartier Magliana, aura lieu une manifestation comme à Gore, à Palombaio et autres villes d’Italie, pour dire Non à l’immigration.
Après la ville de Ferrare, se lèvent des barricades contre les « réfugiés », de Milan à Rome, de la Vénétie aux Pouilles, en passant par à l’Emilie-Romagne. Samedi prochain, Forza Nuova, parti identitaire italien dont le leader est Roberto Fiore, et le comité « Rome aux romains » organisent une mobilisation contre l’arrivée des migrants en rappelant que « chez nous, c’est nous qui commandons ».
Le quartier de la Magliana, souligne le quotidien italien Il Giornale it,
« est depuis longtemps victime de la dégradation d’une capitale toujours plus abandonnée à elle-même. Aussi, explique un responsable de Forza Nuova, Alessio Costantini, « le 5 novembre nous serons dans la rue à Magliana pour reprendre un quartier, désormais livré à l’immigration sauvage, aux centres d’accueil et aux campements de Roms. C’est la première d’une série de mobilisations que nous organiserons, en suivant l’exemple de Gore et Gorino, pour répéter que chez nous, c’est nous qui commandons. Pour le bien de Rome et pour la libération de Magliana. »
« Ici, l’étranger ne passe pas », ajoute Costantini affirmant que « qui veut défendre le peuple italien, devrait dresser des barricades contre qui défend cette invasion incontrôlée et fait le jeu des grands lobbies de pouvoir. »
Il Giornale révèle également que ce quartier romain n’est pas un cas isolé.
« Aussi à Abano Terme, les habitants se révoltent contre l’invasion et devant la caserne que le préfet veut transformer en centre pour réfugiés se lève la voix des Italiens qui disent « Non aux réfugiés ».
Leur combat ne consiste pas seulement à empêcher l’arrivée des réfugiés à Abano.
« L’objectif maintenant, explique un des manifestants, est beaucoup plus ample : abattre tout le système de gestion des demandeurs d’asile. » « Le problème, précise un autre, est que la présence des demandeurs d’asile est imposée sans laisser aucun choix aux populations locales, avec comme seul résultat d’alimenter un énorme business qui enrichit les coopératives. »
En Italie, est née un « Réseau des comités pour le Non aux Réfugiés. » Au cri de « dresser tout type de barricades afin de stopper cette invasion », la Ligue du Nord, Forza Nuova, Casa Pound, de simples citoyens sans étiquette, sont prêts à descendre dans la rue !
Francesca de Villasmundo
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