« Tous les journalistes admis au vol papal pour le voyage en Irak devront être vaccinés. Et la vaccination pourra également avoir lieu au Vatican, selon un calendrier préétabli, pour ceux qui ne l’ont pas déjà réservée dans leur pays. Pour la première fois, les règles du vol pontifical incluent également des restrictions sanitaires, et la nécessité pour tous les journalistes de se faire vacciner est finalement définie.
Les normes ont été publiées par le bureau de presse du Saint-Siège, parallèlement à l’ouverture des accréditations, qui expirent le 25 janvier. Pour le vaccin, il faut au moins trois semaines à compter du premier rappel, donc pour être vacciné dans les temps avant le vol papal – le voyage est prévu du 5 au 8 mars – il faudra se faire vacciner la première semaine puis faire un rappel la quatrième semaine du même mois.
Les informations logistiques expliquent qu’ « en raison de la situation pandémique actuelle, il sera nécessaire de porter un équipement de protection individuelle (masque chirurgical ou type FFP2 / FFP3) à chaque occasion où il est possible d’entrer en contact avec au moins une autre personne et qu’une distance de sécurité d’au moins un mètre ne peut être garantie ».
Puisqu’il peut encore y avoir des événements imprévus, si la vaccination a déjà été programmée à un moment adéquat dans le pays natal, un certificat de vaccination suffira. Sinon, « pour les journalistes admis au Vol Papal qui en font la demande, le vaccin sera administré selon un calendrier de vaccination qui sera communiqué ultérieurement. Uniquement à des fins d’organisation, il est prévu que la première vaccination sera effectuée dans les premiers jours de février et le rappel la dernière semaine du même mois ».
Dans tous les cas, il faudra se soumettre à des tests PCR avant tout départ international, et si ceux-ci sont positifs malgré le vaccin alors « [les journalistes] ne pourront pas participer au voyage et devront supporter les frais des pénalités liées à l’hôtel en Irak et au billet d’avion ». De même si les journalistes sont testés positifs en Irak avant de rentrer, ce pourquoi ils devront éventuellement « affronter les périodes de surveillance sanitaire dans le pays, selon les dispositions des autorités compétentes, en prévoyant ce qui est nécessaire pour le séjour et les frais sanitaires ».
Le dogme catholique peut être relativisé, la discipline ecclésiastique mise de côté, la loi divine occultée, la nature humaine bafouée, l’on peut croire en tout et n’importe quoi, être un athée patenté, nier Dieu et sa Rédemption, et s’attirer les bienveillances du pape argentin, mais au « sacro-saint » vaccin anti-covid il faut croire sans discuter, autrement le pape François se fâchera et l’excommunication tu connaîtras, ipso facto… Pas d’accueil ni de tolérance ni de porte d’avion ouverte pour les non-vaccinés, foi d’El papa. Dans cette Rome conciliaire, et naturaliste, qui a perdu son latin et sa boussole catholique, il est un unique « sacrement » salvateur : la vaccination ! Un nouveau credo : en le vaccin anti-covid tu croiras !
Voilà dans quel abysse d’extravagantes contradictions, et obligations « spirituelles », est tombé le monde conciliaire et bergoglien.
Francesca de Villasmundo
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