Il a donc rencontré un groupe de vrais ou faux réfugiés, qui sait, mais vrais clandestins accueillis par la communauté de Sant’Egidio, communauté très impliquée dans le dialogue inter-religieux, l’œcuménisme et, bien entendu, l’accueil des migrants, ces trois préoccupations allant forcément ensemble.
L’évêque de Rome, dont la passion pour les migrants n’a point de limites, a remercié ces envahisseurs d’un genre nouveau :
« Je voudrais vous remercier pour tout ce que vous nous donnez » leur a-t-il déclaré.
Il n’a pas dit ce que ces clandestins apportent à l’Europe, à l’Italie, mais qu’importe, ses mots sonnent bien pensants, sont là pour neutraliser la pensée incorrecte qui pourrait subsister parmi les catholiques et accréditer une complaisante propagande immigrationniste matinée de solidarité et d’humanitarisme, ces fausses vertus pseudo-chrétiennes.
Le pape argentin, emporté par son élan compassionnel pour ces multitudes d’étrangers, s’est également fendu d’une comparaison stupéfiante qui risque cependant de ne pas plaire à tout le monde :
« Les camps de réfugiés sont des camps de concentration. »
Pour une comparaison osée, celle-là en est une, et de taille !
Qu’on se le dise, pour le pape François, à part les tenants de l’accueil tout azimut, tous les Européens prudents et lucides, hostiles à l’invasion ou même simplement sceptiques et circonspects, sont donc collectivement coupables, responsables, passibles, peut-être, un jour, de la juridiction de Nuremberg…
Francesca de Villasmundo
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