Les banques et la haute finance se placent systématiquement du côté des partisans de l’immigration massive et du grand remplacement de population.
Un nouvel exemple vient d’en être donné avec l’étude d’impact publiée par la Banque nationale de Belgique (BNB) qui estime que le nombre actuel de demandeurs d’asile qui arrivent en Belgique ne constitue pas un défi insurmontable pour les finances de l’Etat.
Bien évidemment, la BNB ne tient compte que des chiffres officiels et occulte complètement l’immigration clandestine. L’étude de la BNB ne se base donc que sur les 35.500 demandeurs d’asile accueillis officiellement en Belgique en 2015.
Le rapport de la BNB remarque tout de même que le taux d’acceptation des demandes d’asile est deux fois plus élevé que par le passé (61% en 2015 contre 30% sur la période 2010-2014).
Les analystes au service de la BNB estiment que les dépenses supplémentaires générées par cet accueil devraient s’élever à 134 millions d’euros en 2015, 308 millions d’euros en 2016 et 154 millions en 2017. Il faut également ajouter 1,3 milliard d’euros d’allocations sociales sur la période 2015-2020, a calculé la BNB. Une bagatelle pour ces messieurs des banques.
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