En Italie, la région Lombardie à qui vient assigner le plus grand nombre de clandestins par le ministère de l’Intérieur italien, 13% des arrivées, c’est-à-dire 17818 personnes enregistrées au 22 juillet 2016, dépense un demi-million par jour pour ces « chers » migrants. Soit 19 millions chaque mois. C’est le prix de l’hospitalité des « réfugiés », une invasion qui est en train de créer des difficultés économiques sans fin pour les villes et les maires.
Face à cette somme colossale affectée aux étrangers, certains hommes politiques se demandent si elle est justifiée et justifiable alors que de nombreux Italiens vivent dans la pauvreté et subissent la crise économique de plein fouet.
« Les informations officielles du ministère, explique la responsable Sécurité et Immigration de la région Lombardie, Simona Bordonali, démontrent que les rejets des demandes d’asile international sont de plus de 60%. »
Ce qui signifie que seulement 4 clandestins sur 10 avaient réellement droit à l’accueil.
« Les chiffres relatifs à l’immigration sont monstrueux, continue-t-elle, et démontrent l’incapacité totale du gouvernement italien à gérer le problème. Maintenir les demandeurs d’asile présents en Lombardie coûte 623.000 euro par jour, argent qui devrait servir à aider les chômeurs et les personnes en réinsertion, et non pas à maintenir pendant 2 ans ceux qui débarquent. En Italie en 2016 les différentes commissions ont identifié 27.522 clandestins. Il serait intéressant de savoir combien ont été rapatriés, mais je crains que la réponse soit zéro. Que le gouvernement intervienne et procède au rapatriement de tous ceux qui n’ont pas le droit de rester ! Cette invasion de clandestins, liée à la peur générale du terrorisme islamique, peut entraîner des conflits terribles. »
L’analyse de Simona Bordonali est valable pour tous les pays européens submergés par ces vagues migratoires de populations totalement étrangères à la civilisation et à la culture européennes, voire hostiles aux racines chrétiennes des nations occidentales. Pourtant, cela fait plus de 40 ans que des hommes politiques, en France, en Italie, en Allemagne, en Occident, mettent en garde contre l’immigration, le regroupement familial, la montée de l’islam et du nombre de ses adeptes dans nos pays anciennement chrétiens. Vilipendés, traînés devant les tribunaux pour racisme, pour contrevenir à la pensée unique du multi-ethnicisme, du multiculturalisme et du multi-confessionnalisme, ils n’ont cependant pas cessé de prévenir et de mettre en garde leurs concitoyens contre les dangers de l’accueil à outrance et de l’immigration d’origine musulmane. Et n’ont pas été écoutés par leurs concitoyens vautrés dans un confort béat et des illusions pérennes d’un progrès social et matériel toujours en devenir.
Les pronostiques pessimistes de ces Cassandre modernes s’avèrent si vrais aujourd’hui : le terrorisme islamique issu des rangs de l’immigration et de l’échec de l’intégration ensanglante les rues de nos villes.
Non seulement ces immigrés clandestins coûtent chers aux contribuables européens mais les « conflits terribles » dont ils sont porteurs ont déjà bel et bien commencé.
Francesca de Villasmundo
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