En France, le premier ministre Manuel Valls est d’accord avec les maires qui ont interdit le port du burkini sur les bords de mer au motif que cette pratique est contraire aux « valeurs de la République française » :
« C’est la traduction d’un projet politique, de contre-société, fondé notamment sur l’asservissement de la femme. Je n’accepte pas cette vision archaïque. Il y a l’idée que, par nature, les femmes seraient impudiques, impures, qu’elles devraient donc être totalement couvertes. Ce n’est pas compatible avec les valeurs de la France et de la République. »
explique-t-il au quotidien français La Provence.
Sur cette question polémique, le ministre de l’Intérieur d’Italie, Angelo Alfano, s’est également exprimé aujourd’hui dans une longue interview au Corriere della Sera. Interdire le voile, la burqa ou le burkini dans les lieux publics pourrait être considéré « une provocation potentiellement capable d’attirer les attentats. » Et poursuit-il : « il ne me semble pas que le modèle français ait fonctionné pour le mieux. »
Deux réponses totalement opposées au problème que constitue le port, non pas de signes religieux, mais de modes vestimentaires ostentatoires liées à l’islam. Deux réponses également superficielles par peur de regarder la vérité en face, la réalité crue.
Le burkini, la burqa, le voile doivent être considérés comme des affirmations orgueilleuses de la charia, la loi islamique, en terre chrétienne. Comme l’expression politique de la conquête de l’islam, de l’avancée mahométane sur le vieux continent. Conquête qui ne demande qu’à progresser ! C’est la raison primordiale qui doit pousser les autorités à les interdire dans l’espace public. Et c’est pourtant la seule raison que ces dernières, qui ont tellement favorisé l’invasion migratoire, n’invoqueront jamais.
Ne pas interdire le burkini par peur des attentats est une déjà une soumission à l’islam et le témoignage visible de la faiblesse de l’occident laïc, dévirilisé, déspiritualisé et matérialiste.
Mais parler d’interdire le burkini sous le prétexte qu’il asservit de la femme alors que les plages françaises, bien plus que les italiennes, deviennent l’été des lieux de débauche de chair féminine, forme tout aussi abjecte d’asservissement de la femme à l’immoralité ambiante, est une réponse tout aussi ridicule et bien faiblarde que les musulmans considéreront avec mépris. Et qui témoigne elle-aussi d’un occident autrefois chrétien immoral, despiritualisé et matérialiste. Tout ce que le mahométan rejette avec force et dégoût.
A quand l’interdiction du topless sur les plages ? Par respect pour la femme ! Pour éviter les attentats !
Francesca de Villasmundo
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