Les universités françaises vont-elles devenir des nouveaux terrains de campements pour clandestins ?
Fin septembre, l’université de Reims fermait ses portes à ses étudiants à cause de l’installation sauvage par une cinquantaine de migrants illégaux d’un campement dans l’enceinte du campus. La sécurité n’étant plus assurée sur le domaine, le président de l’université avait décidé de prendre cette mesure dans l’attente que les pouvoirs publics trouvent une autre solution de relogement.
L’idée des illégaux de s’installer sur les terrains universitaires a fait des petits…
Depuis mardi 3 octobre, c’est au tour de la faculté de lettres de Clermont-Ferrand, sise en pleine ville, d’être envahie par un campement de migrants. Plus d’une centaine d’entre eux ont planté leur tente sous les fenêtres des salles de cours. Ils se servent des commodités de la fac comme bon leur semble, utilisent les prises électriques pour recharger leur portable, et se promènent au sein des étudiants dans les couloirs universitaires. Pour l’instant, ni le président de l’université ni les pouvoirs publics n’ont entrepris de les déloger. Le campement avec toutes ses nuisances et ses dangers s’installe pour le long terme…
En plein état d’urgence, dans une France soumise à des attentats meurtriers ou des tentatives d’attentats presque chaque jour, une telle complaisance envers des clandestins majoritairement musulmans de la part d’un État toujours plus laxiste est une infamie.
Et le plan anti-terroriste mis en place par le gouvernement Macron n’est qu’un attrape-nigaud de plus…
Francesca de Villasmundo
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